Colonel Chabert, Zola
Dissertations Gratuits : Colonel Chabert, Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mel3115 • 22 Mars 2015 • 459 Mots (2 Pages) • 3 566 Vues
lan détaillé : BALZAC – Le Colonel Chabert : portrait du Colonel à l’arrivée chez Derville
Introduction
Le Colonel Chabert est l’un des premiers romans de Balzac, auteur légendaire du XIXèmesiècle. Il a été publié en 1832 sous le titre L’Artiste. Dans cet extrait du roman, Balzac nous délivre une description très réaliste du Colonel Chabert à son arrivée chez Derville. Il utilise unvocabulaire propre au registre fantastique. Ce texte intrigue le lecteur, nous nous demandons donc ici quelle vision du personnage le narrateur veut-il donner ? Dans un premier temps, nous analyserons leportrait physique très précis du Colonel que l’auteur nous délivre, puis nous étudieront le portrait psychologique et moral du personnage. Enfin, nous verrons comment le personnage présente un aspectmystérieux et énigmatique.
I - La mise en place d’un portrait physique
a) Une description dévalorisante du Colonel Chabert
b) L’auteur délivre une image réaliste du personnage
Conclusion partielleAinsi, l’auteur nous délivre un portrait physique dévalorisant mais très réaliste par les nombreux détails précis fournis. Par la suite, il nous décrit le portrait moral du Colonel.
II – la miseen place du portrait psychologique et moral
a) Un homme blessé et meurtri par le passé
b) Il reste malgré tout au Colonel, de la dignité et de la fierté
Conclusion partielle
Le Colonel Chabert est un court roman d’Honoré de Balzac qui paraît sous sa forme définitive en 18441, une première version du texte ayant paru en 1832 (sous le titre la Transaction dans la revue l'Artiste). Il sera de nouveau publié en feuilleton dans le supplément littéraire du Constitutionnel en 1847.
Il entre dans les Scènes de la vie privée de la Comédie humaine dont il est l'un des principaux romans.
Le colonel Chabert, en tant que tel, est une parenthèse émouvante dans la galerie de portraits balzaciens, un hommage rendu aux grognards de Napoléon Ier.
Si l’on ne retrouve plus ce personnage dans la Comédie humaine (excepté un rappel dans la Rabouilleuse, où Philippe Bridau évoque la charge glorieuse du colonel Chabert à la bataille d'Eylau), nombre de protagonistes du roman ont, en revanche, un rôle dans les œuvres suivantes ou précédentes, en particulier les gens de robe dont fait partie Maître Derville.
Maître Derville, qui reçoit le colonel Chabert et accepte de le défendre, est un avoué important dans la Comédie humaine. On le retrouve dans Une ténébreuse affaire où il succède à Maître Bordin et où le comte Henri de Marsay meurt dans de mystérieuses circonstances.
Maître Derville est aussi l’avoué de la femme de Chabert, ce qui explique son insistance à éviter un procès et à proposer une transaction. Il acquiert dans Gobseck une grande réputation par la manière dont il rétablit la fortune de la vicomtesse de Grandlieu. C’est aussi l’avoué du père Goriot et l’exécuteur testamentaire de Jean-Esther
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