Chapitre 2: théorie évolutionniste de la firme apprentissage, routines, et compétences
Commentaires Composés : Chapitre 2: théorie évolutionniste de la firme apprentissage, routines, et compétences. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kenzo8854 • 5 Mars 2012 • 1 384 Mots (6 Pages) • 2 698 Vues
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CHAPITRE 2. THEORIE EVOLUTIONNISTE DE LA FIRME
APPRENTISSAGE, ROUTINES ET COMPETENCES
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Mots clés
Evolutionnisme
Information parfait
Rationalité procédural
Routines
Individualisme méthodologique
Apprentissage
Externalités positives
Cognition
Savoir tacite
Cohérence
Actif spécifique
Actif principal
Actif secondaire
Capabilities
Compétence foncière
Freeman, Schumpeter, Nelson, Winter, Teese, Dosi, Alchian
Penrose, Alchian, Friedman
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1. GENESE
*Freeman (1991), Innovation, Changes of Techno-Economics, Paradigm and Biological Analogies in Economics, Revue Economique, n°2.
Schumpeter
*Evolutionnisme Référence biologique
Incorporer principles de l’évolution biologique dans théorie économique (Alchian, Unvertainty, Evolution and Economic Theory, 1950, JPE n°58)
*Information imparfaite : individus ne peuvent être des parfaits maximisateurs
Refus de la rationalité substantive
Satisfacing (recherche de règles de conduite permettant de satisfaire la survie) versus maximization
Friedman (Essay in Positive Economics, 1953, University of Chicago Press) : les feuilles d’arbres.
Si on regarde un arbre, les feuilles se tournent naturellement vers la lumière. Soit on développe un appareil de connaissance très élaboré qui pourra expliquer ce phénomène (photosynthèse,..). Soit on a qu’à supposer que les feuilles ont des yeux ou un cerveau et qu’elles se tournent naturellement vers le soleil, par simple rationalité.
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*Structure des firmes source de l’évolution (Winter, Economic Natural Selection and theTheory of the Firm, Yale Economic Essays, 1964)
*Nelson et Winter “An Evolutionnary Theory of Economic Change (1982). Cambridge, Harvard University Press.
Théorie générale du changement en économie Ambition d’identifier les facteurs de changement des comportements des agents
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- Eléments de permanence ou d’hérédité (gènes) routines
Individualisme méthodologique connaissances
Capabilities (skills) : compétences, savoir-faire
Firme définie par l’ensemble des compétences qu’elle accumule au fur et à mesure de son activité.
Une large part des connaissances sont tacites (ne peuvent être codifiées, inscrites sur un support).
Les connaissances tacites sont au cœur de l’avantage concurrentiel des firmes.
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Comment mémoriser et améliorer ces connaissances ?
Par la répétition et l’expérimentation de tâches
Routines et apprentissage
Routines Règles de conduite
Routine acquise par les agents au cours de leurs interactions crée la coordination entre les acteurs (pas le manager soi-disant omniscient).
Routines, et non le manager soi-disant omniscient assurent la coordination et cohérence des décisions : centrales pour la performance organisationnelle.
Coordination impersonnelle
Idée générale d’auto-organisation
La routine permet de créer la coordination. Pas seulement entre des connaissances explicites. A travers des routines, on mobilise des sommes de connaissances qui font que l’entreprise en question bénéficie d’une somme de capital cognitif. Importance de tout ce qui est tacite.
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Rôle des routines dans la firme :
- Incorporent les connaissances tacites
- Fournissent un répertoire des réponses « suppression de toute délibération au niveau des choix, confinant le comportement dans des chemins bien définis »(Nelson et Winter, 1982)
Distinction compétences individuelles/compétences organisationnelles
Compétences du groupe > Somme des compétences individuelles Composante collective des compétences des firmes
Modèle d’action répétitif + compétences (capabilities) individuelles.
Production d’externalités positives entre les agents
Economie d’information, synthèse de celle-ci dans le sens ou la routine synthétise un ensemble de connaissance dans la collectivité. Enfin, structure de prédiction, on créé de la lisibilité dans les attitudes.
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Problème Inertie des routines
« Path-depedancy » et effet de « lock in » technologique ou organisationnel
L’entreprise ne peut pas choisir n’importe quelle stratégie ce qui est bon pour une entreprise ne l’est pas pour une autre.
La routine peut empêcher la découverte de choses nouvelles, d’oublier des opportunités existantes. Contrainte de sentier, on est engagé dans une route qui nous ferme des chemins alternatifs.
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- Principe de variations
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