Apple Inc. iPad2
Étude de cas : Apple Inc. iPad2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar christine1988 • 13 Novembre 2012 • Étude de cas • 298 Mots (2 Pages) • 1 180 Vues
A man touches the screen of an an Apple Inc's iPad in this photo illustration
L’iPad2 a rencontré un gros succès en Chine Crédit Photo : © Carlos Barria / Reuters/REUTERS
Ils font partie du club peu enviable de ceux qui ont raté le «rally» récent d’Apple. Ils sont la risée de la communauté financière.
Ils ne sont qu’une poignée à ne pas croire à Apple en Bourse. Les profils de ces pessimistes sont hétéroclites. Leur crédibilité est en jeu tant Apple a ses fans, notamment des gérants qui affichent de colossales plus-values potentielles.
Parmi ces moutons noirs figure d’abord un analyste indépendant, Edward Zabitsky. Ce vétéran de l’analyse financière, dirigeant de son propre cabinet, ACI Research est prudent sur Apple pour une raison particulière. Il craint que les applications web, comme celles inventées par Facebook, menace à moyen terme les géants comme Apple. D’après CNBC, ACI Research est le seul bureau à la vente sur Apple, avec un objectif de 270 dollars.
Un stratégiste s’est aussi fait remarquer en début d’année. Il s’agit de Steen Jakobsen. Dans ses prédictions chocs, il a estimé que l’action Apple pourrait chuter de 50% cette année. Il pointait du doigt la concurrence des téléphones Android et la montée en puissance de la tablette kindle d’Amazon.
Ce ne sont pas les seuls. Certains perdent de l’argent sur Apple. Le respecté Doug Kass, président de Seabreeze Partners Management a vendu à découvert l’action. Cette pratique consiste à emprunter des titres, à les vendre, en espérant les racheter plus bas.
Enfin, l’obscur BAM Investor, spécialisé dans les recommandations boursières sur Twitter, s’est longtemps vanté d’être vendeur à découvert sur le titre. Il est devenu la risée de quelques petits porteurs qui se moquent de ses pertes alors qu’Apple les enrichit. De quoi tuer une réputation sur les très puissants réseaux sociaux.
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