Réfexion sur les extraits de Champagne-Muzar
Commentaire de texte : Réfexion sur les extraits de Champagne-Muzar. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ailin Zhang • 13 Mars 2017 • Commentaire de texte • 565 Mots (3 Pages) • 790 Vues
Ailin ZHANG (N° étudiant : 21606819)
Réfexion sur les extraits de Champagne-Muzar
Les extraits de Champagne-Muzar nous présente les types d’activités pédagogiques pour l’enseignement de la prononciation. En global, il y a des exercices sur la sensibilisation aux faits phonétique, la discrimination auditive, l’intégration corporelle, l’association code oral/code écrit, la production dirigée et la production spontanée. Ma réflexion se focalise sur les caractéristiques et les finalités sur ces différents types d’exercices.
On sait que la langue elle-même est une convention commune. En fait, elle n’existe pas, elle est abstraite. En conséquence, on n’a pas d’accès direct aux langues. Le seul moyen d’entrer dans le système des langues s’avère sur les paroles et sur les écrits. L’oral et l’écrit, ce sont des choses concrètes. La bonne maîtrise d’une langue n’est jamais suffisante sur une seule ou deux compétences langagières, mais tous : écouter, parler, lire et écrire, la compréhension écrite/orale, la production écrite/orale. De ce fait, il ne convient pas de se concentrer seulement sur la prononciation elle-même, mais aussi important de trouver un pont pour relier « sonore » et « signes ».
Les exercices proposés sous un ordre identique sont pour l’objectif de relier « sonore » et « signes » pas à pas.
La sensibilisation aux faits phonétiques, la discrimination auditive, l’intégration corporelle, ces trois types des exercices sont tous centrés sur le son – « sonore ». La sensibilisation aux faits phonétiques est pour repérer la caractéristique d’un son. C’est la base de la prononciation. Ensuite, pour la discrimination auditive, à la base de bien connaître la caractéristique de chaque son, cette phase met l’accent sur la comparaison et la distinction de deux ou plusieurs sons. Ce type d’exercices est comme une révision et un renforcement pour la première phase. Enfin, c’est l’intégration corporelle. Pour certains sons, il s’avère difficile de les distinguer à travers l’oreille. On montre aux apprenants les actions corporelles évidentes comme une aide pour bien tirer les caractéristiques des sons et les distinguer exactement et rapidement, par exemple l’action labiale.
Sur les trois types d’exercices dessus, j’ai mis l’attention sur le point commun – « son » mais il existe ainsi le cas particulier. Par exemple, sur l’exercice la discrimination auditive, ça sert aussi l’identification du nombre de groupes rythmiques et de l’acte de parole.
Avec une base à propos de « sonore », on essaye d’associer la structure phonétique à la représentation visuelle – d’établir le « pont » par les exercices mêlés « signe » et « sonore » : écouter – écrire (transcription), parler – lire (lecture à haute voix) etc. Le mouvement mélodique et la séquence rythmique de l’énoncé peuvent aussi être marqués par des traits.
L’apprentissage des langues est pour l’objectif final de communiquer avec les autres. En fait, l’apprentissage apprend un outil de communication. La finalité de l’enseignement de la prononciation n’est pas sur « imitation » et « répétition » mais sur l’expression. Une bonne prononciation contribue à l’expression orale plus native, plus précise. Donc, après, les exercices sont autour de la production orale : production dirigée et production spontanée.
En conclure, les exercices proposés forment un processus progressé d’entraînement de la prononciation étape par étape vers la finalité de l’enseignement de la prononciation : un son, deux ou plusieurs sons, énoncé, (rythme), production. Pendant ce processus, le son est indissociable avec l’écrit. L’enseignement de la prononciation aussi contribue à un équilibre de la formation des compétences langagières en général.
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