Etude sur la délocalisation
Thèse : Etude sur la délocalisation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lalande Guillaume • 12 Mai 2017 • Thèse • 1 339 Mots (6 Pages) • 826 Vues
SOMMAIRE DE L’ETUDE N°2 :
FICHE PREPARATOIRE DE L’ETUDE …………………… 1
PRODUCTION PERSONNELLE ……………………………. 2
DOCUMENT N°1 « Un inconvénient : la qualité » ……... 3
ANNEXE 1-1 : ANALYSE DU DOCUMENT N°1 ………... 4
DOCUMENT N°2 « Les inconvénients sociaux » …….. 5
ANNEXE 1-2 : ANALYSE DU DOCUMENT N°2 ………… 6
DOCUMENT N°3 « Les avantages économiques et sociaux pour les entreprises»…………………………… 7
ANNEXE 1-3 : ANALYSE DU DOCUMENT N°3 …………. 8
CONCLUSION …………………………………………….… 9
TABLEAU DE CONFRONTATION DES IDEES …….....…..10
LA DELOCALISATION : EFFET POSITIF ET NEGATIF
Tout d’abord, il s’agira de voir dans une première partie les inconvénients de ces délocalisations. Nous aborderons pour commencer les problèmes que pose la qualité des produits en provenance des pays où les entreprises délocalisent la plupart du temps. Ensuite dans la seconde partie, nous nous attarderons sur les problèmes sociaux engendrés par les délocalisations. Puis, nous étudierons l’impact négatif des délocalisations sur l’économie des pays développés. Pour finir, nous verrons les solutions possibles pour atténuer les effets négatifs des délocalisations et un exemple précis de solutions apportées. Dans la dernière partie, nous verrons, au contraire, les points positifs que peuvent tout de même engendrer les délocalisations.
Les délocalisations sont, au sens économique du terme, des déplacements, des transferts d’activités d’une partie ou de la totalité des capitaux, d’unités de production et d’emplois d’un endroit à un autre pour profiter d’avantages qui seront bénéfiques à l’entreprise.
Mais quels sont les impacts de ces délocalisations sur les économies des différents pays ?
Annonce du plan :
Partie 1 : Un inconvénient : la qualité
Partie 2 : Les inconvénients sociaux
Partie 3 : Les avantages économiques et sociaux pour les entreprises.
Partie 1 : Un inconvénient : la qualité
Les jouets fabriqués dans les pays en développement comme la Chine, ne sont pas garants de qualité et peuvent être nocifs pour la santé. En effet, en 2008, sur les 2000 produits étant signalé comme dangereux par la commission européenne, 900 étaient fabriqués en Chine. Plus inquiétant encore sur ces 900 produits*, 500 étaient des jouets destinés aux enfants. La question qui se pose est : faut-il malgré leur prix attractif, continuer d’acheter des produits « made in China » ? Car ceux-ci contiennent donc des produits toxiques pouvant provoquer des maladies.
En novembre 2008, l’association WECF a réalisé des tests sur différents produits fabriqués en Asie. Plusieurs jouets testés contenaient des produits chimiques, dangereux pour la santé : phtalates, bisphénol A, formaldéhyde et xylène. Ceux-ci se retrouvaient notamment dans la colle utilisée ou dans les parfums diffusés par les objets. Il faut donc être très attentif lors d’un achat d’un jouet ou un produit* chinois car, selon le professeur Alfred Bernard, toxicologue à l’ULC, les contrôles des jouets importés ne sont pas systématiques.
Au contraire, en Europe, le risque qu’un produit toxique se retrouve dans les jouets pour enfant est très faible. Car à l’heure actuelle, il y existe une réglementation stricte pour la fabrication des jouets.
ANNEXE 1-1 – ANALYSE DE DOCUMENT N°1
Partie 2 : Les inconvénients sociaux
Gap est un groupe de magasins de vêtements basé à San Francisco aux États-Unis fondé en 1969 par Donald Fischer, car, selon la légende, ce dernier ne trouvait pas de jeans à son goût. Le nom lui a été soufflé par sa femme en référence au « génération gap » (fossé entre les générations). La chaîne Gap, son enseigne étendard, est présente aux États-Unis, tout comme au Canada, au Japon, en Chine, et en Europe (Royaume-Uni, France, en Allemagne...) et compte plus de 3 000 magasins dans le monde.
Dans son édition du 28 octobre 2007, le journal The Observer, nous appris que la fameuse chaîne de magasins Gap faisait travailler des enfants à peine âgés d’une dizaine d’années dans un atelier de New Delhi en Inde. Certains de ces enfants, vendus par leur famille dès leur plus jeune âge travailleraient parfois jusqu’à 16h par jour dans des conditions déplorables. Selon un haut responsable du groupe*, « hors de question que les produits en question soient vendus dans nos magasins. Nous avons également convoqué une réunion de nos fournisseurs au cours de laquelle nous renforcerons notre interdiction sur le travail* des enfants »
Il y a trois ans de cela GAP avait déjà mis fin à des contrats avec 136 fournisseurs responsables d’abus du même genre et avec 23 autres rien que pour l’année 2006.
ANNEXE 1-2 – ANALYSE DE DOCUMENT N°2
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