Petite étude sur la généalogie de la morale
Recherche de Documents : Petite étude sur la généalogie de la morale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Philoz • 26 Février 2014 • 295 Mots (2 Pages) • 1 234 Vues
Dans la généalogie de la morale, on nous présente deux clans qui sont strictement opposés dans tous les points de vue. D’un, c’est l’homme noble et de deux, c’est l’homme du ressentiment. Dans ce texte, nous allons exposer les valeurs de chaque clan incluant les caractéristiques de chaque système de valeurs. D’abord, la morale aristocratique, celle de l’homme noble, nait d’une affirmation sure et certaine d’elle-même. La recherche de son contraire a pour but de s’affirmer soi-même avec encore plus de conviction et de joie. Leur concept du « bas monde », celle du commun, en d’autres mots, les hommes avec la morale des esclaves, n’est qu’un contraste né pour comparer avec leur concept fondamental, qui est tout parfait. L’homme noble va donc mépriser la sphère des étrangers, mais d’une manière incompétent puisque c’est une sphère qui lui est encore inconnu. Il va donc caractériser le bas peuple à tout ce qui est synonyme de malheureux. C’est donc du à la négligence des peuples aristocrates que l’homme du ressentiment va crée des valeurs haineux envers les haut classés. La morale de l’esclave est caractérisée par un « non » à tout ce qui ne fait pas partie d’elle-même, en d’autres mots, à tout ce qui est différent. Au lieu de se fier a soi-même, comme le fait le peuple aristocrate, l’homme du ressentiment est plutôt inspiré au monde extérieur. Il a toujours besoin, pour prendre naissance, d’un monde extérieur et opposé. Le parfait image serait l’homme noble qui leur néglige et leur regarde d’un regard un peu trop supérieur. Aussi, l’homme noble possède déjà le sentiment d’être les « heureux », contrairement à l’homme du ressentiment, qui a besoin de construire leur bonheur artificiellement en se comparant à leurs ennemis et à s’imposer a eux-mêmes.
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