Les Antinflammatoires

Les anti inflammatoires sont des médicaments permettant de réduire ou supprimer les symptômes suite a une lésion par exemple dans notre situation. Ces médicaments agissent en bloquant la formation des substances responsables de l’inflammation. On prend le cas de Clément qui a une lésion au genou et on se demande pourquoi les anti-inflammatoires prescrits par le médecin ( corticoïdes ) sont plus efficace que l’ibuprofène qu’a utiliser clément et qui n’a pas retirer tous les symptômes. Pour cela on analysera les deux types anti-inflammatoires ( avec leur fonctionnement ) puis on les comparera pour mieux comprendre leur objectifs.

Tout d’abord pour mieux comprendre le contexte de la blessure on va analyser le déroulement de la réaction inflammatoire. Avant la réaction inflammatoire si on observe le capillaire sanguin on voit que le vaisseau sanguin est dans un état normal et on voit la présence d’un tissu riche en fibre de collagènes ( le collagène ayant pour rôle d’apporter soutient et fermeté à la peau ). Cependant on observe que durant l’inflammation les tissus ne présentent plus les avantages du collagène, en effet les leucocytes ( = les globules blancs ) sont dispersés et les granulocytes sont accolés contre les vaisseaux sanguins au niveau de la partie infectée. (doc1a)

Une fois la réaction ayant eu lieu, on utilise des anti-inflammatoires pour stopper ces symptômes. Dans  notre cas de figure, Clément utilise deux anti-inflammatoires : l’ibuprofène puis le médecin lui prescrira des corticoïdes. On va voir le mode d’action de chacun de ces médicaments.

On voit que plus on utilise de l’ibuprofène, plus l’importance de l’activité cyclo-oxygénase diminue (la cyclo-oxygénase étant l’enzyme impliquée dans la biosynthèse des prostaglandines ) donc les symptômes sont atténués plus on utilise d’ibuprofène. De plus, si on regarde la modélisation moléculaire de l’ibuprofène, on voit que  les molécules se fixent sur le site actif de la COX et vont donc , en empêchant la fixation de l’acide arachidonique, bloquer la production des prostaglandines et supprimer les symptômes de la réaction inflammatoire. (doc3a  )

En ce qui concerne le deuxième antibiotique, les corticoïde, on apprend que grâce  a la régulation de l’expression de leurs gènes, la réaction des cellules immunitaires va pouvoir bloquer l’action de la phospholipase A2, source de symptôme. (doc3b )

Étant donné qu’on cherche à montrer pourquoi les corticoïde sont plus efficace que l’ibuprofène on va comparer ces deux anti-inflammatoires pour comprendre leurs objectifs différents.

Pour ce qui concerne l’ibuprofène, on a vu que son effet dépend de l’importance du pourcentage d’action des cyclo-oxygénase. En conséquence, on aperçoit  que la cyclo-oxygénase va stopper les effets des prostaglandines, donc l’ibuprofène va uniquement stopper la douleur et la vasodilatation. Or on a vu auparavant que plus on utilise de l’ibuprofène plus l’activité cyclo-oxygénase diminue, donc plus la quantité d’ibuprofène est grande, plus les symptômes seront mal atténués

...