Activité sur le VIH

Activité sur le VIH

1) Le VIH dans le monde :

Tout d’abord, le VIH, est le Virus de l’Immunodéfience Humaine. Il a pour cellules cibles des cellules qui jouent un rôle essentiel dans la réponse immunitaire du corps humain. Il va les utiliser afin de se reproduire, ce qui détourne ces cellules de leur fonction principale, et finit par les détruire. Lorsque le nombre de lymphocytes T4 est insuffisant pour permettre à la personne infectée de se défendre contre d’autre pathogènes, agent à l’origine d’une maladie, le SIDA, Syndrome d’ImmunoDéfience Acquise, est alors déclaré. Ce sont les maladies opportunistes, maladie due à des germes habituellement peu agressifs mais qui sont susceptibles de provoquer des graves complications en affectant des personnes ayant un système immunitaire très affaibli ; qui finissent par causer la mort de l’individu étant infecté.

Par la suite, d’après une étude menée en 2017, le nombre de personnes infectées dans le monde entier par cette maladie était de 36 900 000 millions d’individus, dont 940 000 milles morts. Ce taux de personnes infectées était réparti sur toute la surface du globe en 5 parties :

- L’Europe occidentale, l’Amérique du Nord et les Caraïbes avec 2,5 millions de personnes infectées.

- L’Europe de l’Est et l’Asie centrale avec 1,4 millions de personnes infectées.

- L’Asie et le Pacifique avec 5,2 millions de personnes infectées.

- L’Afrique et le Moyen-Orient avec 26 millions de personnes infectées.

- L’Amérique latine et centrale avec 1,8 millions de personnes infectées.

Les premières apparitions de cette maladie étaient en 1981, et 37 ans après, il y a déjà plus de 35,4 millions de personnes décédées depuis le début de cette épidémie.

Ensuite, au niveau des symptômes, ils sont divisés en deux temps : il y a d’abord les symptômes primo infection, qui ressemblent aux symptômes grippaux, puis lorsque le SIDA se déclare, les symptômes changent et laissent apparaître de la fièvre, de la toux, des diarrhées, ainsi que de l’immunodéfience, qui correspond à la perte de l’immunité, ce qui facilite donc l’installation de maladies graves. Il n’y a malheureusement pas de vaccin contre ce pathogène, et les traitements actuellement utilisés associent trois anti-virus, les trithérapies. Ils permettent de limiter la multiplication du virus dans l’organisme mais aucun ne permet d’éliminer complétement le virus de l’organismes d’un individu infecté.

2) Les modes de transmissions du VIH :

La propagation des pathogènes est directe, c’est-à-dire par contact entre hôtes humains. C’est le cas pour l’infection par VIH où les modes de contaminations sont les rapports sexuels non protégés, par le sang, et de la mère à l’enfant au cours de la grossesse, lors de l’accouchement ou de l’allaitement. L’être humain est donc à la fois le réservoir et le milieu biologique du virus. A l’inverse, il ne peut ni se transmettre par la nourriture, par un baiser ou par une piqûres de moustique, ni par contact des mains ou par les toilettes.

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