Les problématique de l'avortement
Cours : Les problématique de l'avortement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 28 Mars 2013 • Cours • 2 846 Mots (12 Pages) • 9 488 Vues
Le problème de l'avortement.
Introduction.
Présentation.
La question de l'avortement concerne beaucoup de femmes dans le monde on ne peux pas le nier. Bien souvent, c'est à l'annonce de la grossesse que la femme se sent déchirée, sa raison s'oppose a ses émotions. Sa conviction de ne pouvoir l’élever, de ne pas en avoir les moyens financiers, ou d'autres raisons s'opposent aux sentiments qu'elle ressent portant en elle un être vivant, la chair de sa chair, là se révèle sont instinct maternelle. Dans les cas de l'avortement certaine femme ne pourront être en paix avec elle même après un tel acte, et pourtant ne peuvent faire autrement. Elles se sentent monstrueuses, ne peuvent même plus se regarder dans le miroir, et portent ces séquelles durant des années si pas toute leur vie.
L'homme a aussi sa place dans cette problématique en tant que membre du couple ou en tant que père déchiré . Certains sont loin culpabilisant ou non d'avoir abandonner une futur mère, ainsi que leur futur enfant. D'autres sont la a coté de leur femme à peut être ne pouvoir rien dire contre leur décision, craignant qu'elle même y laisse la vie durant l’opération, ou même se sentant eux prêt d’élever un être que sa mère ne veux pas porter durant 9 mois par peur de ne pas être à la hauteur. Voila toute la problématique de l'avortement.
Enjeux.
Cette question relève beaucoup d'enjeux dans diffèrent domaines, tout d'abord dans la liberté individuelle, la femme a le droit de disposer de son corps et ainsi de choisir ou non les changement, qu'une grossesse impose, ensuite dans la question de l'autonomie, la maternité est un choix non une obligation et elle oblige à de grande responsabilité envers sa progéniture et donc une privation de l'autonomie. Aussi elle engage l’égalité entre les homme femmes, dans la grossesse et la responsabilité, la femme a une place plus grande à assumer et l'avortement lui permet de s'en défaire tout comme le père peux partir du jour du lendemain. La sante publique aussi est mise en question dans son rôle de permettre aux femmes d'avorter en toute sécurité médicale et d'avoir un suivi psychologiques.
Question éthique ?
Une question éthique est posée dans l'avortement, le respect du fœtus en tant qu’être vivant, c'est une question éthique car elle référence a des valeurs comme sacrifier sa vie de femme autonome ou celle de son futur bébé, choisir échappatoire ou prendre ses responsabilités,..
Cette question porte un sujet de réflexion et de prise de position, le pour ou le contre.
Dans une société ou les mœurs sont en évolution, la question se pose pour voir si à l'heure actuelle au 21éme siècle cette acte de se libérer pour une mère rentre dans la norme, si cette action est a choisir ou a éviter pour coller aux idées de la société car chaque être humain veux rentrer dans la norme.
L'importance de la question.
Cette question est bien sur importante, tout d'abord par sa dimensions « numérique » il faut savoir qu'a l'heure actuelle c'est près de 50 millions de femmes qui choisissent l'IVG (interruption volontaire de grossesse.) chaque année ; mais par sa dimensions sociales ce ne sont pas des peuples ou des pays qui sont concernés plus que d'autres mais chaque femme capable de donner la vie, même si par les lois de leurs pays elle n'ont pas toute le choix.
Synthèse de données humaines.
Dimensions sociales.
La question sociales se posent dans l’entourage de la personne concernées par l'avortement, tout d'abord si dans sa famille, elle jugent bon de pouvoir s'en occuper, de pouvoir l'assumer, si des gens, parents ou amis, seront là ou si elle devront suspendre leurs études ou même les arrêter, quitter leur travail, pour s'en occuper.
La responsabilité familiales rentre aussi en jeu si les parent ont interdits à leurs enfants les moyens contraceptifs jugeant qu'il étaient trop tôt pour leurs fille d’avoir des rapports sexuelles, ou mêmes interdisant a leur fille d'avorter car sa ne colle pas a la ligne de conduite familiales, que ce soit d'un point de vue chrétiens ou car ils jugent l'avortement comme un meurtre ou un danger a la vie de leur fille.
Aussi les milieu les plus pauvres peuvent être touchés et même si l'aide est disponible dans notre pays elle n'est l'est pas partout et la dignité des parents rentrent en jeu quand a la demande d'aide financières pour ce genre de choses. Ainsi le milieu de vie de la personne ,son milieu sociale j'entends, joue un rôle plus qu’important dans la vie d'une femme, qui a déjà difficultés a être confrontée a une grossesse inattendue.
sa tranche d'age joue aussi un rôle important et sociales. Une femme de 40 ans n'a pas les même difficultés a se faire comprendre qu'une jeune fille entre 15 et 25 ans qu'on prend pour une jeune qui ne connaît rien à la vie et de son avenir.
Dimensions économiques.
Comme je le disais avant, la question économiques posent problèmes dans le cadre des familles dans une situation de problèmes financiers, bien que la mutuelle prend en charge 99 pour cent du prix de l’avortement depuis 2002, il faut toute fois être en ordre d'assurance maladies, chose coûteuses pour certaines familles.
L'IVG en coût normal est de 400 euros qu'il soit fait dans un centre de planning familiale ou dans une hôpital ou centre extra hospitalier, l'intervention de la mutuelle permet de ne payer que 3 euros pour l’opération, dans la cas de l'aspiration du fœtus, car le prix de la pilule abortive peux être ajouté en cas d'avortement par médicament. Cette aide se fait bien sur dans la totale confidentialité pour les familles qui refuserait cette solution par dignité.
Dimensions psychologiques.
Après un avortement, c'est très fréquent que la femme tombent en dépression.Cette acte se fait plus souvent pour celle qui
...