Les principales activités de la vie courante
Commentaires Composés : Les principales activités de la vie courante. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Coccinelle • 27 Février 2014 • 1 171 Mots (5 Pages) • 1 066 Vues
CONCEPTS
AUTONOMIE
Possibilité pour une personne d’effectuer sans aide les principales activités de la vie courante, qu’elles soient physiques, mentales, sociales ou économiques et de s’adapter à son environnement. On parle d’autonomie physique et comportementale.
Autonomie comportementale :
-Décider pour soi en fonction de critères personnels
-Maîtriser son environnement et son autolimitation
-En état de conscience, ayant mesuré les risques, assumer les conséquences, être responsable
-Gérer ses dépendances ou plus précisément l’interdépendance à autrui
RESPONSABILITE
-Décider pour soi selon des critères personnels
-Faire des choix en état de conscience
-mesurer les risques et en assumer les conséquences
DEPENDANCE
Concept polysémique (plusieurs sens différents), connotation positive (échange) ou négative (subordination). Selon V.H : « Incapacité pour une personne [...] d’accomplir elle-même, sans aide, les actions qui lui permettraient [...] d’atteindre un niveau acceptable de satisfaction d’un ou plusieurs besoins ».
-Repose sur des critères individuels de jugements plus ou moins objectifs
-Peut être aigue, passagère, permanente ou récidivante et varie selon les ressources personnelles, financières et relationnelles
-Evoque un état de besoin incontrôlable, un désir compulsif, l’abandon progressif de tout autre plaisir, l’incapacité physique ou psychique
-Nécessite l’aide d’autrui ou d’une substance
L’HOMME
Être original bio-psycho-social culturel et spirituel, en évolution, en interaction avec son environnement, s’adapte pour se défendre et obtenir satisfaction. A la capacité d’innover et de se souvenir.
-Unicité
-Unité
-Sociabilité
-Vulnérabilité
-Adaptabilité
AFFILIATION
-Nature fondamentalement sociale de l’être humain
-Aptitude naturelle à s’engager, à être ouvert au monde
-Assurance d’une survie matérielle
ATTACHEMENT (au sens de la psychologie sociale)
Attachement de l’enfant à une figure principale (souvent la mère)
DIGNITE
- Concept de dignité ne peut se substituer au respect de la vie, au respect de soi et de celui d’autrui
- Le concept de personne est étroitement associé de part la valeur absolue, inaliénable, intrinsèque et universalisable chez l’homme de par sa nature.
- La reconnaissance de l’autre et de son humanité mobilise la conscience et la loi morale dans la relation à l’autre.
- Le principe d’autonomie demeure fondamental et reste étroitement lié au respect de la dignité quelle que soit la nature, l’état de la personne ou l’accomplissement de ses actes.
CORPS
-Matière vivante, siège de fonctions organiques qui peuvent s’altérer par le vieillissement ou la maladie
-Sexué, capable de reproduction
-Siège des émotions qui se manifestent en interaction avec l’autre
-Traduit sa personnalité par sa manière d’être
-Moyen de présence au monde
INTIMITE
-Droit de s’exclure par rapport aux autres et d’accepter aux autres le même privilège
-Séparation entre espace intime et espace public pour un équilibre mental et social
-Le respect de la bonne distance et du territoire de chacun
-La régulation des contacts sociaux et interaction pour éviter toute intrusion
-La discrétion professionnelle et le respect du secret professionnel
-La pudeur
PUDEUR
-Volonté de soustraire à la vision d’autrui ses actes et la présentation du corps
-Variations de la perception de la pudeur selon la culture, les sociétés, les groupes sociaux
ACCOMPAGNEMENT
-L’accompagnement se décrit dans la relation à l’autre, au minimum dans une relation d’aide
-Démarche relationnelle qui s’inscrit autour du projet de l’autre
-Il évoque la proximité et le respect de l’autre, la bienveillance et le non jugement
-L’accompagnement s’intéresse en priorité aux côtés positifs de la personne accompagnée, renforce son estime de soi et préserve son autonomie (décision, parcours) il a un rôle de facilitateur
-L’accompagnant dans une relation empathique, utilise les ressources et les compétences de l’autre. Il garde une juste distance et associe le lien (besoin d’affection) et la loi symbolique (besoin de repères)
Plus simplement :
-accueillir le problème d’un sujet
-explorer le problème
-s’assurer du désir de la part du sujet d’y remédier
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