Les Risques Associé A Une Pratique De Sport Intensive
Note de Recherches : Les Risques Associé A Une Pratique De Sport Intensive. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Myla974 • 29 Septembre 2014 • 3 102 Mots (13 Pages) • 1 239 Vues
Risques associés à une pratique sportive intensive.
BOUSSAHA R. DELFOUR M. secondeG.
Sommaire:
Introduction
Problématique
I) La pratique sportive
II) Les traumatismes
III) Les risques comportementaux
Conclusion
Introduction:
La pratique intense d'une activité sportive augmente des risques. Si elle est régulière est souhaitable pour entretenir la santé, un excès de sport peut s'avérer dangereux et peut entraîner différents problèmes comme les traumatismes et les risques comportementaux.
L'activité physique et l'activité sportive sont deux choses différentes. D’après l’OMS, l’activité sportive est un « sous-ensemble de l’activité physique, spécialisé et organisé ». L'activité physique, d'après l’Inserm c'est l’activité sportive à la maison, au travail, dans les transports en commun ou autre.
De nos jours, la recherche de la performance dans le sport peut se révéler nocive au niveau physique et psychologique.
Il est évident que l'activité physiques diminue la mortalité globale mais avec une mention spéciale pour les maladies cardiovasculaire et les cancers.
Le sport concerne une grande partie des français, mais une augmentation des traumatismes physiques liés a une pratique de plus en plus intensive a été constater donc les spécialistes du sport ont dut tirer la sonnette d’alarme.
On remarque que 1500 sportifs décèdent chaque année dut à 85% des cas à une maladie coronarienne. L'exercice physique peut se montrer aussi redoutable pour les vaisseaux sanguins : à l'effort maximal, les plus petits peuvent se rompre en cas d'anomalie vasculaire ou d’hypertension artérielle méconnue. De même, l'appareil locomoteur peut subir l'accumulation de contraintes mécaniques : c'est la fracture de fatigue, l'usure du cartilage ou l'arthrose (favorisée par une distension ou une rupture ligamentaire). S. Cascua affirme également que « le dos se bloque face au sport » ou encore que « l'intestin digère mal le sport » ; de même, une pratique sportive intense peut perturber les hormones.
Dans les pays développés la principal cause de décès est du aux maladies cardiovasculaires.
L'équilibre psychologique est parfois menacé par le sport, a cause un surentrainement qui conduit a un état proches de la dépression du au stress puisque que l'on essaie toujours à se dépasser en n'hésitant pas à se mettre en danger.
On dit souvent que lorsqu'on est jeune on doit pratiquer un sport pour se défouler, se détendre et se vider la tète surtout lorsque l'on poursuit des études mais la pratique sportive de haut niveau commence de plus en plus tôt et cela étouffe l'enfant.
Le sport intensif peut-il devenir dangereux pour la santé ?
Dans une première partie nous allons étudier des conséquences de la pratique sportive puis dans un second temps des traumatismes possibles et pour terminer les risques comportementaux liés à une pratique sportive intensive.
Les différents endroits sensibles d'être blessés.
I) Pratique sportive
I. Les besoins de l’organisme lors d’un effort physique
Au cours d'un exercice long et/ou peu intense, l'énergie est fournie par la respiration, qui utilise le dioxygène et les nutriments. L'effort physique augmente la consommation de dioxygène :
- Plus l'effort est intense, plus la consommation de dioxygène augmente,
- Il y a une limite à la consommation de dioxygène.
La consommation de nutriments dépend aussi de l'effort fourni.
Au cours de l'effort, un certain nombre de paramètres physiologiques sont modifiés : fréquence cardiaque, volume d'éjection systolique (et donc débit cardiaque), fréquence ventilatoire et volume courant (et donc débit ventilatoire), pression artérielle. Ces modifications physiologiques permettent un meilleur approvisionnement des muscles en dioxygène et en nutriments. L'organisation anatomique facilite cet apport privilégié. Un bon état cardiovasculaire et ventilatoire est indispensable à la pratique d'un exercice physique.
Un grand nombre de sportifs cherche à prendre de la masse musculaire, pour des raisons esthétiques mais aussi et surtout pour gagner en puissance et pour conserver leur tonicité musculaire (essentiel pour les sports d’endurance).
2) Trouble du cycle chez la femme
Toutes les anomalies du cycle menstruel, de son rythme peuvent se rencontrer chez les athlètes. Les anomalies du rythme menstruel, absence de flux menstruel chez une femme, de type primaire avec une absence d’apparition des règles, ou de type secondaire avec un arrêt des règles depuis plus de trois mois chez une femme. Elle est la conséquence d’une anomalie localisée au niveau central ou périphérique, gonadique ou utéro-génital.
Si l’apport calorique est insuffisant par rapport à la dépense cela provoquera une diminution de la balance energetique et donc des troubles du cycle.
L’insuffisance lutéale et les cycles anovulatoires représentent les troubles du cycle les plus fréquemment rencontrés chez les femmes sportives. Chez les femmes qui pratiquent régulièrement la course à pied, la fréquence des troubles du cycle de type phase lutéale courte (durée des cycles < 24 jours) ou oligoménorrhée (durée des cycles > 35 jours) a été estimée à 21% pour Burrows et al. (2003), 40% pour Rosetta et al.(1998) et 78% pour Redman et Loucks (2005) contre 9% dans la population de femmes sédentaires.
Bien que les troubles du cycle ne soient pas encore clairement définis, le déséquilibre
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