Les Resaux Sociaux
Mémoires Gratuits : Les Resaux Sociaux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar samantha62141 • 9 Octobre 2014 • 318 Mots (2 Pages) • 805 Vues
Les réseaux sociaux sont les nouvelles stars de l’Internet. En France, le réseau social en ligne compterait plus de 15 millions de membres actifs, soit un Français sur quatre. Selon une étudeMédiamétrie, rien qu’en 2009, trois fois plus d’internautes français se sont inscrits sur des sites communautaires par rapport à 2008, et le temps passé à surfer sur ce type de service à progressé de 112 % enseulement un an.
La définition d’un réseau social est ambiguë. Pour certains, il s’agit d’un ensemble d’individus liés entre eux par des liens caractérisés par un degré de familiarité variable quiva de la simple connaissance aux liens familiaux les plus étroits. Pour d’autre, un réseau social est un site Web dont le but précis est de faire se rencontrer des membres autour d’une thématiqueprécise. Yahoo définit le réseau social comme « un terme assez large qui désigne des sites Internet qui aident leurs utilisateurs à créer leur propre profil Internet et à partager une partie de leurscontenus préférés, y compris des photos et de la musique. » Donc, par définitions, le réseau social en ligne permettrait de créer des nouveaux liens sociaux.
Mais, les réseaux sociaux en lignepermettent-ils une vraie vie sociale ?
Dans un premier temps, nous évoquerons que les réseaux sociaux sont favorables à la socialisation des individus. Dans un second temps, nous nous appuierons sur l’articlede Guillaume BUFFET qui s’interroge la relation émetteur/récepteur permis par les réseaux sociaux. Dans un troisième temps, nous montreront quelles sont les influences des réseaux sociaux dans nos vieset quelles en sont les conséquences.
Pour les chercheurs de l’université de Pennsylvanie, l’usage du Web, de réseaux sociaux comme Facebook ne nuit pas à la socialisation. L’isolement social n’apas changé par rapport à 1985. 6% de la population adulte américaine n’ont personne à qui parler et 12% n’ont pas de confident, soit globalement la même proportion qu’il y a un quart de siècle
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