Le phénomène de la formation de masse de chinocero est considéré par l'absurdité
Commentaire de texte : Le phénomène de la formation de masse de chinocero est considéré par l'absurdité. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 25 Juin 2014 • Commentaire de texte • 364 Mots (2 Pages) • 779 Vues
hinocéros phénomène de massification est traité par le biais de l'absurde
par jpardis, déc. 2011 | 4 Pages (984 Mots) | 5 Vus |
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Analyse de Rhinocéros
La Seconde Guerre mondiale constitue le conflit armé le plus vaste que l’humanité ait connu. Provoquée par les ambitions expansionnistes des trois principales nations del’Axe, puis ensuite, par l'entrée en guerre officielle de l'ensemble des grandes puissances de l'époque : la France, le Royaume-Uni et leurs colonies. Les horreurs de la guerre on apporté un questionnementchez plusieurs auteurs, à savoir si il y avait vraiment une raison valable à toute c’est atrocités. Ce mouvement ; le théâtre de l’absurde se caractérise par une rupture totale des genres classiques,tels que le drame ou la comédie. C’est mouvement traitant de l’absurdité de l’homme et de la vie en général. L’origine de cette pensée étant sans conteste la chute de l’humanisme à la sortie de cetteSeconde Guerre mondiale. Eugène Ionesco, fervent écrivain de ce courant est auteur de Rhinocéros, une célèbre pièce de l’absurde, dans laquelle il traite du dangereux phénomène de massification, parle biais de l’absurde, tant dans le contenu que dans la forme de la pièce. Il aborde le conformisme par l’exagération de l’innocence des personnes qui entourent, Bérenger, le personnage principal, etamène l’idée d’intégration aux normes par la forme contextuelle du texte.
Pour commencer, Ionesco aborde le conformiste en exagérant la naïveté des personnes qui entoure Bérenger. On peutconstater tout au long de la pièce que les rhinocéros se font de plus en plus accepter par les autres cela va même aller jusqu’à l’admiration complète de cette espèce. Au début, Bérenger : « Bon, d’accord, unrhinocéros en liberté, ça n’est pas bien » (p 28), Jean rétorqua : «Cela ne devrait pas exister. » Un peu plus tard Daisy dit : « On s’y habitue, vous savez. Plus personne ne s’étonne des troupeauxde rhinocéros ». (p. 139) Et encore un peu plus loin : « Ce sont des dieux. » (p.158) à la fin, Bérenger finit par affirmer : « ce sont eux qui sont beaux. (En parlant des rhinocéros) J’ai eu tort!... [à continuer]
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