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Le besoin d'acquérir la culture par l'homme

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Par   •  24 Janvier 2015  •  Analyse sectorielle  •  1 734 Mots (7 Pages)  •  632 Vues

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Le mot "culture" a la même origine que le mot "culte". La culture se rapproche du culte religieux ( = connaissance du religieux ), elle est en rapport avec le culte sacré, car c'est également quelque chose de sérieux .

--> La culture est ce qui sépare le civilisé du barbare.

Ethymologiquement, le barbare était celui qui ne parlait pas d'une manière intélligible. Le barbare est celui qui est jeté dans le monde sans le comrendre, sans même essayer d'en comprendre le sens. De ce point de vue, nous pouvons tous être dans une moindre mesure des barbares, car être civilisé demande un effort.

La culture d'un individus peut être comparée à la culture d'une terre, c'est un individus bien entretenu tel un champs bien entretenu.

L'acquisition de la culture d'un individus se fait pareillement de façon organisée. ( ex. : reconnaitre les paroles d'une chanson n'est pas aussi bien que connaître une grande oeuvre, pourquoi ? car l'une resistera au temps alors que l'autre nom. Il faut connaitre ce qui résiste au temps )

--> En culture générale, il faut souligner que tout ne se faut pas, certaine référence sont plus importante que d'autre.

Le terme culture peut être pris dans plusieurs sens :

- la culture qui correspond à une civilisation. Dans chaque civilisation, il y a des connaissances considérées comme struturantes la personnalité et la société.

- la culture est aussi tout un ensemble de codes adoptés par ses membres ( ex. : la culture urbaine ). La encore, cultiver toutes les cultures n'est pas fondamental, il faut choisir les plus instructives, celles qui donneront le plus de débouchés.

la culture de masse,qui ne demande pas d'effort, donc ce n'est pas de la culture car on ne pourra jamais rien en faire, de lui donner du sens

--> la culture permet de donner du sens , ou encore d'en rechercher

la culture générale véhicule la culture de la classe dominante

Dansune société très utilitariste, la culture générale à une grande importance pour les concours, ou l'insertion dans le monde profesionnelle. Néanmoins, cette nouvelle vision est déconnecté de la vision initiale qui se voulait désinterrésé. Maintenant, elle a un but économique

Frédérick Nitch explique qu'il faut se méfier d'une culture si large qu'elle n'aurait plus de fondement. Et d'une culture qui se voudrait spécialiser utile , et qui donc ne serait plus de la culture car à volonté non de s'instruire mais de s'en servir

Hannah Arendt dans la Crise de la culture se pose une question toute simple sur les cathédrales. S'il s'agissait de trouver un lieu dans lequel on aller prier, pourquoi avoir créé des monuments si magnifiques? H.Arendt résume ça en disant "pour la plus grande gloire de Dieu", cela dans la société n'a pas de rentabilité, d'utilité. Mais la justification est qu'il s'agit d'un lieu de culte. La culture, c'est cela aussi, c'est laisser une trace au fil des siècle, même si, rationnellement on aurait pu s'en passer.

--> Cette idée que la culture échappe à l'utilitarisme et à la rationnalité est profondemment ancrée dans la philosophie; mais c'est une idée qui va à contre courant avec la société actuelle.

Si l'on veut se cultiver il faut passer par l'Histoire (= car la plupart de nos référence sont historique ),

Il est difficile de reconnaitre ce qui appartient à la culture générale, ce qui faut la peine d'appartenir à la culture générale. Néanmoins, il n'y a pas un domaine de la culture générale à plus privilégier qu'un autre, il est très important d'avoir une bonne culture dans tout les domaines et les recouper ( histoire, littérature, musique, cinématographie, sport, économie ) Ex. : pour comprendre comment Hitler a compris qu il était bon orateur, il a prononcé des opéras de Veygner, l'art méler à la politique, à l'histoire, à la musique; c'est une raison pour laquelle en israel ila longtemps été interdit de jouer un Veyner

La distinction "droite" et "gauche" :

Fin de juin 1789 dans l'emisicle, ceux qui étaient du coté droit étaient les plus réformistes ceux de gauche les plus révolutionnaires. Les termes "droite" et "gauche" viennent de cette époque. Ceux qui étaient les plus en haut étaient les "montagnard". Il étaient plus extremistes que d'autres.

Au XIXe siècle à gauche on trouvera les liberaux car le liberalisme se fonde sur l'idée que tout part et tout arrive par l'individu, qu'il est totalement libre d'un point de vue philosophique, et que c'est cette liberté qui doit être preservée plus que tout. Alors que les partisans de l'ordre ancien, les royalistes concervent l'idée que l'homme est prit dans un reseau d'alliance, d'interets, de fidélité. Cela peut être la famille, la province ..

Ce sont deux manières completement differentes de concevoir la société. Soit la société est première et l'homme en fait partie ( Aristote : "l'homme est un animal politique" ). Pour les liberaux, l'homme est premier

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