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La Femme Selon La Tradition Africaine

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Par   •  27 Février 2015  •  627 Mots (3 Pages)  •  1 479 Vues

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Exposé :

La femme selon la tradition africaine

Membres :

 ISSANGA KOUMBA GIRELLE DARCIA

 GOULOUBA OSSAMOU

 NZINGA ERICKA

 MAVOUNGOU SERGE

 MAKANGUI NGUEMA HANS LANCIO FRANCOIS

 MOUSSAVOU MOUSSAVOU DERICK

 MBOLO MASSALA

 ISSAMBO HANS JORNY

 EBANG MELANE LOIC

INTRODUCTION

Dans l’ancien temps la femme en Afrique était considérée comme une esclave. Elle n’avait aucun droit et devait se soumettre aux ordres des hommes. Cela s’explique principalement par l’interprétation faite des textes sacrés par les hommes. En effet selon la Bible, dans le livre de la Genèse, la femme, Eve, s’est rendue coupable de la transgression de la loi divine en mangeant le fruit interdit et en trompant l’homme, Adam. Depuis ce temps la femme est soumise à l’homme. Elle était la principale actrice des activités domestiques et champêtres et n’avait ni droit à la parole, ni droit à l’école.

Mais aujourd’hui avec les avancées sociales, la société internationale et africaine tend vers une égalité des sexes, et la situation de la femme s’améliore. Alors nous pouvons nous demander quelle a été la position de la femme dans la société africaine ?

Une situation marquée par la soumission

I. La coutume

La vie africaine est rythmée par la tradition et la coutume. Selon cette dernière, la femme était pratiquement considérée comme une esclave.

1. Le mariage

La femme ne vivait que pour être mariée et faire des enfants, dans certains pays elle était promise dès la naissance, dans d’autres dès l’apparition des premières règles. La femme dans la tradition dépend entièrement dans son mari. Le mariage se fait selon la tradition, il est qualifié de mariage coutumier : selon les peuples il est différent mais il y a toujours un point commun, la dot. La femme était un bien, elle ne choisissait souvent pas son homme, certains parents vendaient leur fille au plus offrant par le biais du mariage. Ainsi, dans un village, le chef, souvent le plus riche, pouvait se retrouver avec plusieurs femmes. Une fois dotée, la femme appartient à la famille de son mari, à la mort de celui-ci c’est son frère qui en hérite.

2. Autres coutumes

Les hommes qui ont toujours pensé être supérieurs aux femmes ne pouvaient pas accepter certaines choses :

• C’est la femme qui donne la vie

• La femme vit plus longtemps que l’homme

• La

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