L'acool Chez Les Jeunes

La consommation d'alcool chez les jeunes d'aujourd'hui.

Phénomène de la société, influence de nouveaux facteurs (internet, évolution des moeurs...), nous pouvons observer de nos jours une hausse de la consommation d'alcool chez les jeunes, parfois encore mineurs. Mais la consommation d'alcool ne fait pas seulement qu'augmenter chez les adolescents, en effet elle frappe aussi de plus en plus tôt (parfois même dés 12 ans !). C'est un fait de notre actualité qui touche la catégorie de personne à laquelle j'appartient. C'est pour cela, que en tant qu'adolescente, je pense pouvoir analyser et développer ce thème différemment. Un peu comme un agent infiltré le fairait. Je peux observer de plus prés ce cas, car je cotoie chaques jours les acteurs de mon sujet. Et je peux facilement me mettre à leur place, comprendre leur raisonnement, leur façon de réagir et leur comportement. Alors, pourquoi les jeunes d'aujourd'hui on une tendance plus prononcé pour l'alcool, la société est-elle responsable ? Les causes sont primordiales, mais aussi les effets, les conséquences, et le rôle que vont jouer alors les parents et les médecins (addictologues)...

Avant toute chose je pense nécessaire de determiner les causes de cette hausse de la consommation d'alcool chez les jeunes d'aujourd'hui. En effet les comportements des jeunes face à l'alcool ont changés. On peux observer un besoin d'être ivre rapidement (« binge drinking »), une consommation plus régulière, la notion de "boire pour boire" et non pas de boire par plaisir. La société joue t'elle un rôle dans ces changements ? Qu'elles sont les causes de cette évolution ? Si les jeunes d'aujourd'hui consomment régulièrement de l'alcool c'est tout d'abord par soucis d'intégration. Le fait de boire, crée un lien social et permet de s'identifer à d'autres jeunes, d'intégrer un groupe. Il rend aussi le contact beaucoup plus facile. Ivre l'adolescent a moins d'appréntion à aller vers les autres, moins peur d'être rejeté, et se sent comme "invincible", "intouchable". Certains facteurs vont aussi pousser les jeunes à boire, par exemple, l'entrée en fac. Généralement l'adolescent ne connait personne, il va donc vouloir entrer en contact, se faire de nouveaux amis. Il va alors vouloir s'identifier à d'autre et rentrer dans "leurs normes". Si ces jeunes boivent, alors il buvra, pour ne pas "déteindre" et s'intégrer. De plus un jeune qui "tient l'alcool" et est capable de beaucoup boire, est bien vue. Enormément de "jeux d'alcool" existent et poussent les jeunes à boire plusieurs verres à la filé, ce qui pousse la consommation d'alcool à son maximum, mais aussi les jeunes au delà de leurs limites. De plus, l'adolescence est comme une période de "mutation". Notre corp change, nos envies ne sont plus les mêmes, nous ne sommes ni enfant ni adulte, et il est souvent difficile de comprendre ce qu'il nous arrive. Le Petit Robert, définition de "jeunesse" : "Temps de la vie entre l'enfance et la maturité." ; "État (physique ou moral) d'une personne jeune. La fraîcheur, l'éclat de la jeunesse. L'idéalisme, l'illusion, l'inexpérience, l'intransigeance de la jeunesse [...]". Comme dit ici, l'adolescent n'est pas encore mûr, et n'a pas l'expérience et le recul nécessaire pour comprendre la vie, juger ses acts, et réagir comme il le devrait. L'adolescent est idéaliste et plein d'illusion. Ces choses rénuits, font que les jeunes ne réalisent pas, se cherchent, essaient de comprendre et vont souvent de désillusion en désillusion. L'alcool est alors comme une quête d'identité, un moyen d'oublier ces désillusions, un début d'affirmation de soi. L'adolescent est aussi à la recherche de sensation forte, de découverte et l'alcool lui donne les moyen d'accéder à cela. Au delà de ça, l'alcool peut traduire un certain mal-être. Mauvaises relations familiales, décés d'un proche, traumatisme... L'adolescent préfère alors, se réfugier auprés de ses amis et faire la fête plutôt que de parler, d'expliquer à un adulte, qu'il juge incapable de le comprendre. De plus, aujourd'hui l'alcool est banalisé. Et nous pouvons le trouver à n'importe quelle heure (sos alcool : il suffit d'appeler n'importe quand dans la nuit, et une ou plusieurs bouteilles vous sont livrés a domicile), dans tout les magasins, et avec un accés plutôt facile. Parfois même, le contrôle d'indentité n'est pas effectué. Un mineur peux alors se procurer de l'acool sans grande difficulté. Cependant il ne faut pas confondre les causes « déterminantes » qui sont individuelles et les causes qui ne sont que « favorisantes ». L'environnement ne joue que sur les personnes faibles psycologiquement, ou mal informés. L'alcool reste en France la deuxième cause de mortalité après le tabac. Ces conséquences ne sont donc pas négligables et parfois même dramatiques.

Comas éthyliques, risques d'accidents, noyades, rapports sexuels non protégés sont les conséquences principales de l'alcool chez les jeunes. En effet l'alcool dénude de tout sens des responsabilités, supprime les moeurs et les tabous, et pousse les jeunes à faire des choses irrésponsables et dangereuses pour eux-même et les autres. Si ces causes touchent plus souvent les jeunes, c'est tout d'abord car ils ne savent pas boire. Ne se sentant pas saoule, ils continuent à boire démesurément jusqu'à qu'ils se fassent surprendre par la montée de l'alcool et qu'ils finissent dans des états alarmants. L'insouciance des adolescent les poussent aussi à comettre des acts dangereux, comme prendre le volant ivre, avoir des rapports sexuels non protégé (pensant que les grossesses ou les MST n'arrivent qu'aux autres par exemple, et qu'il faut "simplement profiter de la vie"). Cette consommation démesuré d'alcool, mènent aussi à l'addiction et à l'alcoolisme. Beaucoup moins fréquent chez les adolescents cette conséquence n'est pas négligable. Les parents doivent alors jouer un rôle primordiale. Bien avant de tomber dans l'alcoolisme. Un ados qui a bu, ça se voit, grasse matiné jusqu'à 14h, mal de tête, fatigue, mine blanche et malade, baisse des résultats scolaires. Dès lors, les parents doivent jouer la prévention. Ne surtout pas interdire. Car l'interdiction

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