Instillation De Collyre -

Analyse de pratique : instillation de collyre

Je vais d’abord expliquer pourquoi j’ai choisi de travailler sur cette analyse de pratique. J’ai choisi l’instillation de collyre car je n’avais pas encore fait d’analyse sur ce soin et c’est un soin que j’ai réalisé plusieurs fois pendant mon stage (à hauteur de 1 à 2 fois par poste) de plus, ce n’est pas un soin que j’ai pu réaliser souvent dans mes stages précédent.

Objectif du soin pour la résidente : diminuer la pression oculaire, plus exactement de maintenir une pression inférieure à celle qui est néfaste pour le nerf optique.

Je vais donc présenter l’instillation du collyre Azarga (1 goutte dans chaque œil) auprès de la résidente que je prends en charge Madame C qui est une résidente âgée de 82 ans, qui est aveugle de l’œil gauche et une vision à 2/10 à l’autre œil, madame pèse 108 kg pour 1m60, madame aime beaucoup discuter et ne se plaint jamais, madame est veuve et a un fils qui est son référent. Madame a pour antécédent un glaucome bilatéral qui est une maladie dégénérative du nerf optique qui entraine une perte progressive de la vision, l’Azarga est donc mis en place de 1 goutte dans chaque œil le matin et le soir ainsi que du Dacryoserum pour assurer un lavage oculaire à madame à hauteur de 1 application le matin et le soir dans les 2 yeux

Je vais présenter en quelque ligne le traitement que je vais administrer à Madame C qui est l’Azarga. C’est un collyre antiglaucomateux, ce collyre associe deux substances qui ont la propriété de diminuer la tension intraoculaire. Il est utilisé dans le traitement des maladies dues à un excès de tension intraoculaire, et notamment du glaucome. Ce traitement est contre indiqué pour les personne ayant de l’asthme, une bronchite chronique grave, une insuffisance cardiaque grave sauf si elle est stabilisée par un traitement spécifique et en cas d’insuffisance rénale grave. Pour finir sur l’Azarga je vais énoncer quelque effets indésirable (les plus fréquents) une sensation de fatigue, de mains et de pieds froid, de l’insomnie, des douleurs d’estomac, des nausées et des vomissements, une chute de tension, et le risque d’éruption cutanée. Le flacon d’Azarga doit être jeté 4 semaines après l’ouverture de celui-ci pour prévenir les infections.

Je suis du poste du matin et je viens de terminer la toilette de madame, il est alors 9h, la toilette a duré une 20éne de minutes, madame est donc assise sur son fauteuil roulant dans sa chambre et je la préviens que avant de la conduire en salle à manger pour prendre son petit déjeuné je vais lui mettre ses gouttes dans ses yeux ci cella ne la dérange pas, madame me répond quelle est d’accord et que le flacon est disposé sur la table de nuit. J’en profite pour vérifier tout de suite la date de péremption du flacon, que le flacon est ouvert depuis moins de 15 jours (à chaque ouverture la date est notée sur la boite du flacon), le nom du produit.

Je vais donc dans la salle de soins, je consulte la prescription médicale informatisé et constate bien que madame a de l’Azarga de prescrit 1 gouttes dans chaque œil le matin, je prends alors des compresses avec moi, le lavage oculaire avec le Dacryoserum a été fait 10 min avant l’instillation de l’Azarga.

Je reviens à la chambre

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