Dépendance aux Réseaux sociaux
Fiche de lecture : Dépendance aux Réseaux sociaux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar THGLLT • 5 Novembre 2018 • Fiche de lecture • 393 Mots (2 Pages) • 567 Vues
Dépendance aux réseaux sociaux:
Selon un rapport du Sénat, les français 6 à 8% des français passerait beaucoup trop de temps sur les écrans. Un français sur 2 posséderait un compte Facebook et 48% des 18-34 ans l'utiliserait quotidiennement. Un utilisateur moyen passerait en moyenne 1 heures 45 sur les réseaux sociaux.
Un like ou un commentaires provoquent une réaction positive chez l’utilisateur ( il se sent aimé et populaire).
Chaques notifications provoquent le système de la récompense dans le cerveau, qui est le même système que celui de la dépendance.
C’est également une question d’habitude : les réseaux sociaux sont accessible n’importe où et n’importe quand. En moyenne on consulte son smartphone toutes les 10 minutes pour une durée inférieur à 30 secondes.
Toutes ces dépendances peuvent amener à l’isolement social, ce qui est paradoxal car le but des réseaux sociaux est de créer du lien social. De plus, l’utilisation excessive des réseaux sociaux peut avoir un impact néfaste sur le bien être. Les effets sur les adolescents sont inquiétants : moins de rencontres chez les ados que ce soit amoureuse ou amicale et une forte augmentation du taux de suicide. Elle serait également en partie responsable de l’échec scolaire -> Selon le site Top Santé, un ado qui utilise un réseau social lorsqu'il fait ses devoirs est moins performant que les autres élèves.
Trois. C’est le nombre moyen de réseaux auxquels nous sommes inscrits depuis que nous fréquentons les plateformes sociales sur Internet selon une étude Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram, Vine… Tout comme on ne compte plus le nombre de sites sur lesquels on s’inscrit, on ne compte plus réellement le temps passé à mettre son profil à jour, retweeter ses amis ou encore partager des photos de ses dernières vacances. 5 minutes dépensées par-ci par-là qui, mises bout-à-bout, nous font passer pas moins de deux heures par jour derrière notre écran d’ordinateur, de téléphone portable ou de tablette, d’après le dernier rapport de l’agence Wearesocial. Il ne faut cependant pas croire que l’addiction aux réseaux sociaux ne concernerait qu’un public jeune et hyper-connecté. Récemment, le témoignage du journaliste Guy Birembaum, victime d’un burn-out auquel a largement contribué une connexion excessive à Twitter, a alerté sur les risques potentiels et souvent ignorés d’une fréquentation accrue des plateformes sociales. Surtout lors d’un épisode de fragilité psychique, et cela à tout âge de la vie
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