Analyse De Pratique sur Mr C âgé de 89 ans pour une altération de l’état générale
Dissertations Gratuits : Analyse De Pratique sur Mr C âgé de 89 ans pour une altération de l’état générale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 21 Décembre 2013 • 733 Mots (3 Pages) • 1 482 Vues
Mr C âgé de 89 ans est entré dans le service le 22 octobre pour une altération de l’état générale. A son entré, ce monsieur présente une anorexie et une lombalgie droite invalidante. Dans l’histoire de sa maladie, Mr C a eut une coloscopie de contrôle qui a démontré une masse suspecte de type cancéreuse. Suite à cet examen, Mr C a refusé tout autre examen complémentaire. De plus ce patient est très dépressif et présente une démence vasculaire.
Depuis son entré dans le service, Mr C se voit diminuer. En effet, il a d’abord eut une radio pulmonaire et une échographie hépatique qui montré des métastases, confirmé par un scanner : cancer métastasé (colon, pulmonaire et osseux) stade 4. Ces examens montrent également que la patient à deux côtes de cassés qui est du au métastases. Puis une semaine après, il fait une hyperthermie avec dyspnée qui fait diagnostiquer une infection pulmonaire. Ensuite le 20/11, Mr C fait une tachycardie avec un ECG perturbé, qui sera vérifié par l’avis d’un cardiologue et un angioscan, conclusion : une embolie pulmonaire. De part son état, une RCP aura lieu afin de parler des soins palliatifs. Puis depuis décembre, le patient à un état de santé stable, mais reste quand même très douloureux.
Un après midi, je rentre dans la chambre de Mr C, pour prendre ces constantes. Au moment où je lui pose la question pour évaluer sa douleur, le patient me répond :
« Pourquoi j’ai autant mal partout ? Pourquoi j’ai deux cotes de cassées ? Je souhaiterai qu’on m’explique ce qui se passe ? ».
Face à ces questions je me suis retrouvé en difficultés. En effet je connais la raison de ses douleurs et le pourquoi de ces cotes cassées. Seulement, nous avons le médecin qui ne souhaite pas donnée d’information au patient de son état de santé afin de ne pas avoir un préjudice négatif sur celui-ci de part son état dépressif. Je me retrouve alors dans un dilemme ou je ne sais pas quoi faire. Au final, j’essai de faire diversion auprès du patient en lui redemandant son niveau de douleur ; et ainsi lui proposé de le rallongé, car assis il souffre beaucoup. Je ne suis pas satisfaite et reste dans le flou face à de telle situation c’est pourquoi je me pose la question suivante :
Aurai-je du renvoyer le patient auprès du médecin ou/et de sa propre famille ?
En effet éviter de répondre au patient, et détourné sa question n’est pas l’attitude idéale en tant que soignant. Tout d’abord en tant qu’infirmière nous pouvons donner des informations au patient qui relève de nos compétences, or ceci relève du domaine médical. Donc au lieu de fuir, ce qui pourrais inquiéter le patient, je peux tout simplement lui expliquais que cela ne relève pas de mes compétences et que je ne suis pas apte à répondre à cette question.
La deuxième attitude à avoir, c’est transmettre cette information au médecin pour qu’il puisse avoir connaissance de la demande du patient. Il est vrai que selon la loi du 4 mars 2002 relative aux droits du patient, celui-ci a le droit d’être informer de son état de santé et ainsi qu’on puisse lui répondre à ces questions.
Aurai-je du lui demandé ce qu’il savait de son état de
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