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L’histoire de la religion au Japon

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Par   •  16 Décembre 2014  •  Commentaire d'oeuvre  •  2 388 Mots (10 Pages)  •  845 Vues

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L’histoire de la religion au Japon découle d’un long processus d’influence mutuelle entre plusieurs traditions religieuses. À l’inverse de l’Europe, où le Christianisme a supplanté toutes les religions païennes locales, la religion autochtone Shintō a continué de faire partie de la vie des japonais jusqu’à aujourd’hui.

Quand le Bouddhisme fut introduit au Japon au VIe siècle, les croyances shintô et bouddhistes commencèrent à interagir. C’est cet interaction qui définit le caractère de la religion au Japon. L’exemple le plus frappant de cette interaction est celui de la théorie « Honji Suijaku » (本地垂迹), dans lequel les dieux Shintô sont vu comme des réincarnations de divinités bouddhistes.

Le confucianisme est également une religion « importée » qui a joué un rôle important dans la société japonaise pendant une période de plus de 1000 ans. Les préceptes confucéens ont eu une influence majeure sur la philosophie morale et politique lors de la période de formation de l’État japonais (du VIe au IXe siècle), et également pendant la période Edo (1603—1868).

Shinto 神道

Le religion Shinto, littéralement « la voie des dieux » ou « la voie du divin », commença à prendre forme pendant la période pré-historique du Japon avec le 6ème av. JC. Dans cette ancienne période, le Shintoïsme était la religion d’une société qui ne savait encore ni lire ni écrire organisée autour de l’élément centrale de la famille. Les divinités Shinto, appelés Kami, été perçues comme imprégnées dans la nature. Des arbres, des montagnes, des rivières ou de pierres ayant des formes exceptionnelles, tout peut être considéré comme Kami, même les être humains peuvent également être vu comme Kami.

Un ancien mythe développé par la famille principale du VII et VIII siècle, la famille Yamato, plus tard connu comme la famille royale, soutient que le leader de la famille, l’empereur, était un décédant de leur ami protecteur, la déesse du Soleil Amaterasu. Mais de grands guerriers ou poètes, par exemple, furent également reconnu en tant que kami grâce à la vertu de leur aptitudes spéciales.

Étant donné que le Shintoïsme n’avaient pas de textes fondateurs ou sacrés, la religion fut transmise par des rituels communs. Le but des ces rituel était de maintenir ou de réinstaller une harmonie entre la nature, les hommes et les

Amaterasu, déesse du Soleil Kami que les premiers Japonais semblaient avoir pris comme la norme.

Quand les japonais ont commencé à adopté l’agriculture vers le III siècle av. JC, les rituels Shinto devinrent intimement liée à l’année agricole. Les festivals avaient lieu lors des plantations, des moissons ou au moment important de l’histoire de la communauté. La plupart de ritual contiennent quatre partie : la purification, les offrandes, les prières et un repas final. Tous les membres de la communauté prenaient part au repas final, ramenant alors harmonie des les relations entre humains et kami.

Bien que le Shintoïsme n’ai pas eu de structures sacrés pendant sa première phase, à parti du VIIe et VIIIe siècle ap. JC, les japonais commencèrent à construire de temple hébergeant les representations symboliques des kami et fournissant des lieux pour les rituels.

Il est important de noter que, alors que les leaders du gouvernement japonais utilisaient le Shintoïsme pour légitimité la guerre japonais dans le pacifique de 1937 à 1945, la religion Shinto tout au long de sont histoire était une religion lié à la nature, l’agriculture et les communautés locales.

Le Bouddhisme 仏教

Le bouddhisme est apparu en Inde au Vie siècle av. JC. et, après être passé par la Chine et la Corée, est arrivé au Japon au Vie siècle ap. JC. Le Bouddhisme était une voie de pratiques qu’un individu pouvaient prendre afin d’être débarrassé de la souffrance. Buddha enseignait que, en dépit de différent degré de bonheur qu’une personne pour atteindre dans sa vie, tous les être humain finissaient par devenir malade, vieillir et mourir. Et parce qu’il accepté l’idée Indienne de la renaissance selon le Karma, souffrir était perçu comme se prolongeant indéfiniment dans le futur. Bouddha soutenaient qu’en se libérant de la souffrance, il était possible d’atteindre une nouvelle vision de la réalité.

Chacun doit voir que les personnes et les choses n’existe pas de manière autonome mais plutôt que toutes les choses sont liées dans un ensemble d’interdépendance. Pour surmonter l’égocentrisme de l’ignorance, chacun doit transformer sa façon de penser et agir à travers la pratique de la morale, de la méditation et de la sagesse bouddhiste.

Une nouvelle branche de la religion appelé Mahayana, littéralement « grand véhicule », est apparu au Ier siècle av. JC. Mahayana a continué de transmettre la voie de la moralité, de la médiation et de la sagesse comme le chemin vers la libération, mais a également développé des nouvelles formes de pensées et de pratiques afin de d’atteindre le plus de personnes possible. Les leaders Mahayana ajoutèrent des centaines de nouveaux sutras et textes sacrés à l’oeuvre Bouddhistes. Ces textes introduirent Bouddhas et Bodhisattvas (assistants éclairés des Bouddhas) qui n’étaient pas visible dans l’ancienne tradition.

Certains des nouveaux sutras recommande la voie de la devotion envers ses êtres éclairés comme la première étape vers la libération, ou dans certains autres textes, une façon de gagner la réincarnation dans la terre pure d’un des Bouddhas. C’est e Bouddhisme Mahayana qui s’est étendu en Chine, Corée et au Japon.

Quand le Bouddhisme atteint le Japon au VIe siècle depuis la Corée et la Chine, son message philosophique sophistiqué fut difficile à comprendre pour la plupart des Japonais. Un petite élite apprenait alors le Chinois (Le première langage écrit du Japon) et certains d’entree eux commencèrent à étudier les textes bouddhistes chinois. Cependant la plupart des Japonais furent attiré tout d’abord par l’art bouddhiste, par la magie bouddhiste ou parla possibilité de resserrer les lien avec la civilisation avancée chinoise om le bouddhisme s’était déjà répandu. Peut importe l’attirance, à partir du VIIIe siècle, quand les Japonais établirent leur première capital permanent à Nara, la court japonaise avait embrassé à la fois le bouddhisme et le shintoïsme.

Comme on pourrait si attendre, un certain nombre

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