Commentaire composé sur l'article Torture de Voltaire (Intro/plan/conclusion)

Introduction :

Notre texte est un article du dictionnaire philosophique s’intitulant « Torture » ayant été écrit en 1764 par Voltaire (1694-1778) durant le XVIIIème siècle, représentant le siècle des lumières. Ici, le chevalier de Barre, est un protagoniste condamné à mort après torture suite à des chants impies, il aurait également omis d’ôter son chapeau devant une procession, et aurait mutilé un crucifix de bois. A travers cet article, Voltaire veut montrer l’intolérance, la cruauté des français vis-à-vis du jeune homme de 18 ans, ayant été jugé et exécuté à tort dans le but de dénoncer ces pratiques barbares. Cet article est en fait une critique sociale qui met en cause le système judiciaire. De plus, Voltaire emploie une diversité d’outils, de ton (l’ironie par exemple) et de registres qui permettent de s’adresser à la raison et à l’émotion du lecteur.

De quelle manière la dénonciation faite par Voltaire du système judiciaire de l’ancien régime prend-elle une valeur exemplaire dans ce texte ?

Nous verrons dans un premier temps que la torture est une spécificité française et que ce texte est intemporel. Par la suite, nous montrerons que la thèse de Voltaire vise à abolir la torture devenue banale et quotidienne. Et pour finir que c’est un article à visée polémique.

I.       La torture, une spécificité française.

A. voltaire nous présente une étude historique.

Comparaison avec l’antiquité pour montrer que même au 18ème siècle, la torture existe toujours donc pas d’évolution.

Ligne 2-5 torture considérée comme de l’esclavage.

B. Il aborde les autres pays

L’Angleterre au 18ème s (para 3) est supérieure à la France.

Ligne 17 oxymore « plaisir » et « donner la question --» souligne le sadisme de la France qui pratique encore la torture.

Para 6 il parle de la Russie qui était qualifiée de barbare mais qui a évolué grâce à des lois.

La France devient le pays le plus barbare

C. L’aspect juridique français

Comparaison de la torture ligne 14 à « question », « la petite est la grande torture ».

Périphrase « usage atroce » dénonce

Le champ lexical de la justice : « magistrat, juges, lois, sénateurs » ligne 14 et 17 à il veut faire évoluer les choses.

L’exemple du magistrat et du chirurgien est inhumain.

II.    Un regard critique sur la France : pour dénoncer la torture

A. aborde les conditions de cette pratique

Para 1 conseillé de la Tournelle

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