Le jeu dans la société
Commentaire de texte : Le jeu dans la société. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar roxas91 • 1 Mars 2015 • Commentaire de texte • 691 Mots (3 Pages) • 547 Vues
Le jeu dans la société
Le jeu dans la société peut être considéré comme une façon d’éduquer l’être humain. C’est pourquoi, il est important que dans l’enfance le jeu fasse partie de l’éducation afin que le caractère de chacun se forge au fur et à mesure des rôles dans les jeux.
C’est ainsi que l’on peut remarquer deux phases qui sont d’ailleurs associées à deux mots différents du jeu en anglais (play et game).
La première, qui se situe dans la toute petite enfance, où l’enfant imagine son copain de jeu, ce qui lui permet de garder le rôle principal. La seconde, qui correspond à l’entré à l’école primaire, où l’enfant commence à intégrer des règles dans le jeu où chacun à un rôle ce qui lui permettra de faire, plus tard, une similitude avec la réalité, la collectivité.
Cet apprentissage de la réalité est encore divisé en deux groupes. Un qui peut se caractérisé comme étant « libre » et l’autre plus « rigide » selon les pays d’où l’on vient.
Peut-on dire alors que le jeu dirige l’enfant vers son futur d’adulte selon s’il a joué à un jeu plus ou moins ancien, primitif ou à des jeux de chance. Les activités de la vie de tous les jours peuvent aussi parfois se comparer à des jeux. Chez certaines personnes, le jeu atteint un tel degré qu’ils cherchent à s’assurer que les esprits sont avec eux à l’aide de gri-gri ou de portes bonheurs.
A chaque période de la vie correspondent des jeux qui évoluent selon l’âge, les siècles et la société. Continuer à jouer tout en grandissant peut signifier que l’on refuse d’avoir des responsabilités. Pourtant, sans le jeu nous ne pourrions pas évoluer culturellement car la vie ne serait qu’une routine continuelle.
Le jeu ne refuse pas d’être règlementée, il permet aux personnes de sortir de leurs train-train quotidien. Même les populations les plus rationnelles approuvent son esprit ludique, qui d’ailleurs est un sujet tabou, il aide à s’amuser dans une vie sans surprise.
L’ouverture de casino n’est pas autorisé partout, en 1863 la société des bains de mer possède le monopole des jeux, la loi du 18 juin 1806 obligeât toutes les maisons de jeux à fermer.
En 1960, le tiercé est à la mode, mélange de calcul et de hasard, il vise un segment social où dépensé risque d’entrainer des manques mais le désir de jouer est insatiable.
L’Etat créé en 1975 le loto. Il y a aussi des jeux interdits. Ils attirent les « spécialistes du racket », ils échappent à la justice malgré les contrôles pour ne pas perdre de profit sur les sommes écoulés par cette activité. Le jeu est une passion contagieuse.
Le mot « joueur » s’applique aux pratiquants de jeux d’argent et de hasard (en anglais gambling) il n’est pas comparable à ceux qui jouent aux jeux de société.
Durant l’Antiquité, plusieurs penseurs voyaient déjà de l’immoralité dans les jeux ; à l’époque la mode était aux jeux de cartes (inventés par les arabes) et les jeux de dés (inventé par un héros de Troie ou un dieu selon les grecs).
Sous l’empire, les lois contre l’excès du jeu ont été renforcées dans succès, les spectacles des jeux du cirque étaient acceptés comme une distraction culturelle.
L’Eglise chrétienne
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