La Solitude

La solitude est un sentiment connu par tous. Elle touche de différents types des personnes, ne dépend pas d’âge ni de status social. Elle peut durer quelque temps ou même toute la vie. Il arrive qu’elle est choisie et conciderée comme le meilleur style de vivre; une autre fois elle est la malédiction, imposée par des circonstances de vie. Ce n’est pas vrai qu’on éprouve le sentiment de la solitude seulement au cas où on n’ait pas de compagnie. On peut se sentir solitaire même dans la foule des amis, dans la famille, dans la couple. Même si cet état est perçu comme la cause pour avoir honte, on voit que d’année en année le nombre de « solitaires de choix » augmente.

Ce qui est intéressant c’est la source de ce choix. Souvent les personnes solitaires ont des bonnes compétences communicatives et le bon portrait de soi-même, mais elles craintent la proximité émotionnelle et elles évitent le risque social qui accompagne au noeud de relation. Elles tiennent la distance émotionnelle vers les autres et elles limitent les intéractions avec eux aux actes de communication formels et artificiels. Toutefois, on a de plusieurs autres causes de la solitude de choix.

En premier lieu se trouve bien sûr l’envie d’être indépendant. C’est bien visible chez les « nouvelles » femmes qui veulent s’émanciper. Elles disent que dans la couple elles doivent consulter toutes leurs décisions et leurs choix. Elles doivent s’adapter à la vie de leur partenaire, elles ne peuvent pas disposer de leur temps seules. Et quand elles vivent en solitude, elles ont de la liberté plaine, elles peuvent se concentrer seulement aux leurs besoins. Ces femmes sont alors sures que chaque leur pas est leur propre décision. Elles peuvent librement élargir et perfectionner leurs compétences profesionnelles. Comme le bon exemple peut servir la situation où une femme a deux possibilités : partir (à n’importe quel endroit du monde ! ) et travailler au poste préstigieux, ou rester à la ville, occuper un poste moins avantageux et vivre aux côtés de son partenaire en renonçant à son propre développement. Le point du vue des hommes est pareil. Ils déclarent que la vie en solitude leur permet de faire tout ce qu’ils veulent. Ils peuvent avoir des passions dangereuses ou controversées, ils se rencontrent avec ses ami(e)s quand ils veulent, ils ne doivent pas se faire du souci pour les tâches domestiques...

En deuxième lieu se place la liberté en organisant son temps libre. Si on vit seul, on peut consacrer beaucoup de temps pour nos hobby, loisirs, repos, mais aussi pour se réaliser aux autres rélations (amicales, familiales). On ne doit pas se dépêcher, on ne néglige pas notre santé, on peut s’arrêter, réflechir, observer nous-mêmes et le monde, percevoir plus de petites choses qui peuvent nous porter bonheur.

La solitude peut être utile également dans un moment critique dans notre vie, par exemple quand on a fini une rélation difficile ou quand on tombe malade à cause de travailler trop. C’est une bonne occasion pour voir qu’est-ce qu’on a à l’intérieur, pour analyser ses émotions et ses expériences. Un bon moment pour voir comment on fonctionne dans la societé, dans la famille, dans le millieu du travail. Il s’agit aussi de percevoir ses défauts pour pouvoir les corriger et ses qualités pour se sentir mieux, pour être conscient de ses

...