D'où vient le mal
Dissertation : D'où vient le mal. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lol028515120 • 23 Avril 2021 • Dissertation • 803 Mots (4 Pages) • 462 Vues
D’où vient le mal ?
Depuis l’apparaissions de l’être humain tel que nous le connaissons, le mal est présent. Mais d’où se développe cette imperfection? Certains diront que le mal provient de l’ignorance, car quelqu’un d’ignorant ne se rend pas compte du mal qu’il peut faire, il ne possède pas les connaissances pour juger si le geste qu’il pose est bien ou mal. D’autres diront que la vie en société fait de nous de mauvaises personnes, car elle nous amène à nous comparer les uns aux autres ce qui provoque de la jalousie. Donc, nous réfléchirons à plusieurs questions qui nous aideront à trouver les enjeux soulevés par la question initiale : l’homme est-il fondamentalement méchant? Qu’est-ce que le mal? Sommes-nous en mesure, à l’aide de notre savoir, d’éliminer le mal? Dans ce texte, il sera question de l’opinion du christianisme et du philosophe Jean-Jacques Rousseau sur la question « D’où vient le mal ? » et à l’aide de leurs conceptions différentes de l’être humain, nous allons pouvoir approfondir notre point de vue.
En premier lieu, il sera question de la vision du christianisme. Cette religion à débuter dans la violence de l’Antiquité Romaine, elle a été très critiquée dans ses débuts. La montée du christianisme est causée en grande partie par la résurrection de Jésus, car elle a confondu les sceptiques. À partir du Moyen Âge, elle devient très importante et dominante, car le Moyen Âge se caractérise comme un désordre en tout point autant du côté politique que du côté social. Le christianisme à créer de l’ordre et de l’espoir chez les gens. Celle-ci croit que le mal nous habite depuis la nuit des temps et que nous sommes les seuls responsables du mal. Elle insinue ceci puisqu’au début de la Création nous avons voulu posséder les connaissances du bien et du mal, nous y sommes parvenues en désobéissant à Dieu en mangeant le fruit défendu. Bien entendu, cela nous a fait perdre notre innocence et l’immortalité. Cet événement est perçu, par le christianisme, comme étant le début du mal et est surnommé le péché originel. D’après eux, chaque être humain est mauvais puisque ce péché coule dans nos veines. Le christianisme n’offre pas de solution concrète puisqu’il insinue que c’est dans notre nature et qu’on ne peut échapper à cette difformité qui nous habite, c’est plus fort que nous on ne peut contrôler ces pulsions.
En deuxième lieu, il sera question de la perception du philosophe Jean-Jacques Rousseau. Celui-ci est né au XVIIIe siècle surnommé Siècle des lumières qui se caractérise par le début d’un changement de croyance, nous passons des croyances religieuses aux connaissances scientifiques. Nous sommes assoiffées de savoir, nous ne cherchons plus à rester cacher dans l’ignorance on cherche maintenant à acquérir le savoir. C’est donc pour cela que le Siècle des lumières est basé sur la raison qui permet aux philosophes et scientifiques de faire progresser l’homme vers la liberté et le savoir. Rousseau quant à lui rejette la thèse du péché originel et de la volonté divine. Il croit que nous sommes le résultat de la nature avec son environnement. Ce qu’il l’oblige à pousser beaucoup plus ses connaissances comparer à ses ancêtres qui ont tout mis sur la faute de Dieu. Rousseau est l’un des premiers
...