Devoir Châteaubriand
Résumé : Devoir Châteaubriand. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Halobeyonce • 11 Mai 2021 • Résumé • 1 001 Mots (5 Pages) • 560 Vues
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Devoir Châteaubriand
- L’atmosphère au cœur de ce château est extrêmement tendue. Dans ce lieu de vie les discussions se font très rare, la famille parlent très peu entre eux et quand les enfants osent parler, ils chuchotent« l10 ». Le père intimide, effraie les enfants. Les enfants ont peur de leur père« l10-11 ». La famille ne fait aucune tâche ménagère et ce sont encore des moments en moins à passer en famille « l3 ». La mère elle ne prend même pas la peine de rester avec eux et préfère directement aller s’allonger sur un lit « l 1-2 ». Le père, lui préfère aller se promener jusqu’à son coucher« l4 ». L’atmosphère est donc très froid, avec une peur constante des enfants envers leur père.
- Le temps utilisé est l’imparfait. Il est utilisé dans ce cas pour raconter les habitudes. Ceci est de l’imparfait d’habitude ex « les soirées d’automnes étaient » ou encore « on l’entendait seulement encore marcher »
- Le père a une attitude très solitaires, à peine le repas terminer il part instantanément se promener seul et il revient de sa promenade que lorsqu’il va dormir « l4 ».Le père était vêtu de blanc mais était tout de même un personnage sombre, il ne parlait pas, il ne montrait aucun signe d’affection. Le père est donc comparé à un spectre « émergeait peu à peu de l’obscurité, comme un spectre » « l9 ». Le père n’est pas avenant avec ses enfants, il les effraie constamment. Lorsqu’il leurs adresse la parole, ses enfants ont une peur bleu et s’arrêtent immédiatement de parler « saisis de peur, nous ne répondions rien ».
- Le premier sentiment éprouvé par l’enfant dans ce troisième paragraphe est la solitude. Ce petit n’a pas l’air d’avoir des amis, il ne pale point avec son père ou sa mère, il entreprend parfois des discussions avec sa sœur ou les deux enfants chuchotent. Il parait énormément seul. Il dit ne pas perdre aucun murmure des ténèbres « je ne perdais aucun murmure des ténèbres » (l27) ou il dit encore que les souterrains gémissent. (l29) Il exprime à travers cette métaphore que le château est habité mais pourtant il n’y a jamais de discussions, jamais d’activité. Il veut exprimer qu’il se sent fortement seul. Le deuxième sentiment que j’ai relevé est le sentiment de la liberté. Il évoque énormément le fait que les oiseaux fassent des aller-retour devant sa fenêtre et cet acte peut avoir un lien avec la liberté.(l25) L’oiseau peut être un signe de liberté, il n’a pas de compte à rendre, il est libre. Le deuxième élément qui me laisse penser que le petit garçon veut plus de liberté est le fait qu’il parle du vent, qu’il dise que le vent court à pas léger.(l28) Le vent aussi est un symbole de liberté, d’où l’expression « libre comme le vent »
- Dans les lignes 25 jusqu’à 30 de nombreuses figures de style sont présentes, leur but est d’accentuer la situation du petit garçon dans le château la nuit. Par exemple « je ne perdais aucun murmure des ténèbres » qui est une métaphore, elle est présente pour insister sur le fait qu’il n’y ait aucun bruit mais juste l’enfant devant la nuit sombre. La deuxième figure de style que j’ai relevé est présente dans la ligne 28, c’est la métaphore « le vent semblait courir a pas léger, quelquefois il laissait échapper des plaintes » il veut une fois de plus insister sur le fait qu’il n’y est pas de bruit et qu’il entend le vent. La dernière figure de style est « les souterrains poussaient des gémissements » c’est une métaphore pour exprimer le fait qu’il se sent seul et qu’il n’y est pas de bruit.
- La réelle intention du père était de faire devenir son fils un homme qui n’a pas peur de la solitude. En le poussant dans ses retranchements comme par exemple lorsque l’enfant avait peur, le père le fit dormir avec un cadavre .l(39) Mais cette technique marcha très bien car cela l’aida beaucoup à devenir un homme et cela lui a permis de garder son imagination. Donc son éducation était très sévère et peu affective mais il ne voulait que aider son fils à devenir un homme.
- Le jeune Chateaubriand pense que son éducation avait plusieurs points négatifs et inconvénients mais que cela lui a permis de devenir celui qu’il est. Il dit que son enfance compliqué a finalement tourné à son avantage. Il s’exprime aussi sur le fait que son éducation lui a laissé un vrai courage d’homme tout en lui laissant la sensibilité d’imagination qu’il avait. Sa mère l’a aussi beaucoup rassuré quand son père le faisait dormir tout seul. Donc pour chateaubriand ce fut une enfance compliqué mais il est aussi content de l’avoir eu car sinon il ne serait pas devenu ce qu’il était.
- Ce dessin de Victor Hugo me fais fortement pensé à la métaphore « je ne perdais aucun murmure des ténèbres » car tout d’abord, on peut observer que le château présent au centre du tableau possède une perspective mais cette fois ci beaucoup plus sombre que le château. Ensuite on peut voir que cette gigantesque demeure est encerclé de lueurs sombres, on peut fortement penser que ce sont des esprits mystérieux, cruel qui viennent des profondeurs des ténèbres.
- Réécriture : Les soirées d’automne sont d’une autre nature. Le souper fini, ma mère se jette, en soupirant, sur un vieux lit de jour ; on met devant elle un guéridon avec une bougie. Je m’assois auprès du feu avec Lucile ; les domestiques enlèvent le couvert et se retirent. Mon père commence alors une promenade, qui ne cesse qu’à l’heure de son coucher. Il est vêtu d’une ratine blanche. Sa tête, demi-chauve, est couverte, d’un grand bonnet blanc qui se tient tout droit. Lorsqu’en se promenant, il s’éloigne du foyer, la vaste salle est si peu éclairée par une seule bougie qu’on ne le voit plus ;
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