Dictée Brevet Français

                        Dictée Brevet Français

Cécile avait raison lorsqu’elle disait à mme Donsaire qu’il fallait laisser Martine tranquille, qu’elle savait ce qu’elle voulait. C’était vrai il y avait chez Martine une détermination presque sinistre, tant on la sentait irrévocable. En toute chose. Si après de longues réflexions qui l’empèchaient de dormir, elle se décidait pour un tailleur classique bleu marine,  des escarpins de la même couleur et un chapeau blanc, il les lui fallait exactement tels qu’elle les avaient imaginé, le tailleur et les escarpins et le chapeau… Un bleu marine franc, ne tirant pas sur le gris et le violet.

                                        Brevet

        1.

a) Le souvenir se déroule dans un magasin au printemps 1960. En effet dans ce texte nous avons le personnage principal qui se retrouve dans le « magasin de vêtements pour homme, le plus grand de la ville » pour acheter son premier blazer mais acheter aussi un pantalon.

b)Le narrateur du texte et l’auteur et l’auteur est aussi le personnage principale nous nous trouvons donc dans le genre autobiographique comme nous pouvons le voir avec l’emploie de la première personne « j’étais »  « je fus » « j’aurais » enfin nous pouvons aussi qu’il parle de souvenir « je ne me souvient pas » qui prouve que nous somme sur de l’autobiographie.

        2.

Il y a deux éléments qui nous montre que l’achat du blazer et un évènement important dans la vie du personnage. Tout d’abord, le jeune homme n’a pas porté de veste avant l’age de 13 ans  et pourra en avoir une comme ses camarades qui pour les plus bourgeois en possédé déjà une. . « Je ne me souviens pas d’avoir porté de veste avant l’age de 13 ans ». Ensuite, il y a le moment du mariage ou il va devoir le porter tous t’en ayant peur des critiques car il n’a pas choisi le blazer à cause du vendeur qui a influencer ça mère.   « les regards portés sur le blazer odieux et méprisable » « mais l’odieux vendeur convainquit ma mère ».

3.

L’attitude du vendeur est provocatrice immature et malsains envers le jeune.

En effet, le vendeur à une attitude intolérable, en essayant de convaincre la mère que le fils est gras, vis a vis du derrière et du ventre du jeune garçon. Il a comme but de dérangeait embêtait le jeune tout en oubliant sa fonctionne principale de vendeur en influençant la mère a acheter un blazer droit moins chère que le blazer croisé. « trop grassouillet » « grosses fesses » « ironiquement » « le vendeur ricanait » « les blazers croisés étaient vendus plus cher que les droits ».

4

Le jeune ressent de la honte à cause de la peur du regard des autres. En effet, le jeune homme pointilleux sur les couleurs voir même un peu paranoïaque à cause de la peur du regard des autres qui est plutôt normal étant donné qu’il et dans l’adolescence une période dans la quelle les jeunes trouves le regard des autres très très importants. «  l’age de 13 ans ». Ainsi ayant des camarades avec une couleur de blazer bleu marine Michel Pastoureau voulait avoir le même bleu marine qu’eux pour être dans la « norme ». Mais, le jeune homme c’est retrouvé avec un bleu marine très peu différent « presque bleu marine » mais ses camarades pourraient trouver vulgaire, et c’est ainsi qu’une certaine paranoïa a envaïe sa tête lors du mariage avec une peur du regard porté. « j’imaginais les regards portés ».

5.

6 . Ce souvenir est un souvenir important car il lui rappelle un mauvais souvenir. En effet la plus part des mot du jeune homme envers ce souvenir sont des  mots négatifs « cette liberté prit fin »  «  mes caprices » « honte »  ainsi on comprend que ça était une période compliquer pour dure a accepter car il ce souvient des mauvais souvenirs avec le  vendeur, le mariage, la peur du regard des autres ...

7. Le jeune personnage a une attitude normal pour un enfant de son age. En effet durant l’adolescence les jeunes sont plus compliqué, de plus il a un certain œil pour remarquer les coulleurs et il a peur du regard des autres c’est pour ça qu’on peut trouver son attitude normal.

8.

Nous pouvons établir certain lien entre le texte et la photographie. Tout d’abort, la photographie de Richard Kalvar de 1975 à pour titre « Essayage ». Nous pouvons donc déjà faire le lien entre le texte qui ce déroule dans un magasin de vétement et le titre de la photographie. Ensuite, au premier plan nous pouvons voir deux femmes dont une entrain de remettre le bonnet sur la tête d’une personne, surment sont fils. D’aillleur, nous pouvons encore faire le lien avec les vétements, du fait que la personne porte une veste classe comme dans le texte. Mais aussi le fait que cette personne pourrait être le fils de la femme comme dans le texte. Ensuite à l’arrière plan nous pouvons voir une ville. Dans le texte Michel Pastoureau, il y a aussi la référence à une ville. Ainsi nous pouvons voirs de nombreux liens entre la photographie et le texte.  

9. Les verbes sont au présent.

10.

a) Le mot est composait du préfixe in qui désigne la chose imposible, le radical port pour porter et le suffixe able pour désigner la possibilité

b) c’est un adjectif qualificatif .

c) Inimaginable

11.

a)Ma mère est un COD.

b)Le mot ne peut pas ce déplacer, on peut pas le suprimer et si nous utilisons qui nous comprenons que c’est un COD.

12.

a) Les deux propositions parle du blazer, et le lien logique et la nuance de couleur.

b)« … cet infime écart de nuance me bouleversait car  j’imaginais tous les regards portés sur le blazer odieux et méprisable. »

13.

« Un adolescent a sur la vulgarité des idées qui lui son propre. Il serait souvent bien en peine de les expliquer ou de les faire partager à des adultes, mais le vulgaire-son vulgaire-a pour lui quelque chose d’absolument rédhibitoire.  

                                Sujet de Réflexion

L’Adolescence est une période compliquée, les gens se transforment, grandissent, changent de style. C’est une période décisive pour l’avenir, bouleversante. Ainsi les adolescents  n’ayant pas de personnalités vont vouloir rester dans la norme. Pour ne pas se faire critiquer, car en effet la différence n’est pas forcément accepter dans l’adolescence.

...