Vols De La Mort
Mémoires Gratuits : Vols De La Mort. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bavilav • 12 Avril 2013 • 379 Mots (2 Pages) • 1 124 Vues
Intro :
-Procès concernant les vols de la mort.
-La dictature
-Emergence des faits
I) Vols de la mort ; Définition.
-Description
-Témoignage de Adolfo Scilingo, un ancien militaire gradé de l’Esma
II)Qui sont les responsables ?
-Armée
-complicité civile
Conclusion.
Le procès etc.
ikjiicsjikcjkejckzj,kcnzjoicnzoiencoiehoiczhjoicdehizehouiezhbuebczc eziunczeibcez cuzbc zuci zeuc zeu cuz eru eu cz c z cze ez ez de z e e ez ez e z ze eze docteur Juglar publiait l’ouvrage qui le rendra célèbre : « Des crises commerciales et de leur retour périodique, en France, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis ». Au début des années1930, E. Varga, économiste « officiel » de la IIIe internationale, affirmait que la grande crise qui ébranlait alors le capitalisme constituait l’ultime soubresaut de ce système. M. Aglietta déclarait plus récemment que la crise asiatique constituait la crise la plus grave depuis 1945. Marx écrivait dans « le 18 Brumaire » que si l’histoire ne se répète pas, il lui arrive de bégayer… Le capitalisme a deux cents ans d’histoire, et son parcours est émaillé de crises. Les crises sont-elles inscrites dans la dynamique de ce système ?
L’observation de l’histoire ne laisse guère d’arguments à une réponse contraire. Deux grandes raisons peuvent permettre de comprendre la propension de ce système à connaître des crises. L’imperfection de l’économie de marché tout d’abord, en tant que système intrinsèquement problématique, et parce que les conditions de son fonctionnement optimal ne sont jamais réunies. La dynamique du capitalisme lui-même ensuite, fondamentalement instable, en proie à des emballements, des « prurits », que viennent « purger » nécessairement les crises par la suite. Mais enfin, les crises ne sont pas fatales non plus, et certains dispositifs de régulation peuvent être mis en place pour les enrayer. L’analyse s’articulera autour de ces trois idées.
I. Les vicissitudes de l’économie de marché et les heurts de la main invisible
A. Décentralisation des décisions, rationalité limitée, et fonctionnement aléatoire des marchés
1. Le système de l’économie de marché est un système de décisions décentralisées. L’économie repose sur la liberté individuelle, la liberté d’entreprendre, d’investir, etc. Le problème central est celui de l’absence de coordination des décisions microéconomiques (cf. la parabole des îles de E. Phelps). L’interaction, l’agrégation des décisions microéconomiques produit souvent des effets indésirés, effets pervers au niveau macroéconomique, bien éloignés des harmonies supposées
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