L'euthanasie
Discours : L'euthanasie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jo Pump • 3 Décembre 2017 • Discours • 1 128 Mots (5 Pages) • 808 Vues
Bonjour à toutes et à tous, je vais vous présenter mon sujet mon sujet va se porter sur l’euthanasie.
Il est vrai que c’est un thème qui ne peut pas nous laisser indifférents, car il nous questionne, au plus profond de nous -même sur notre rapport à la vie et à la mort. Il est donc tout à fait compréhensible que lorsque l’on se pose la question de légaliser ou pas cette pratique, les avis soient divergents. En effet, on assiste à une immense mobilisation générale que ce soit par des hommes politiques ou bien des médecins. Mais aussi des philosophes, des sociologues ou des familles de malades…
Peut-on, au nom de l’aspect sacré de la vie laissée une personne souffrir sans agir ou a-t-on le devoir d’exaucer son ultime souhait même si celui-ci est en désaccord avec le nôtre ? Est-ce que la vie n’est-elle pas plus importante que la mort ?
Depuis 2002, l’euthanasie a été légalisée en Belgique. Cette pratique est acceptée par de nombreuses personnes, mais beaucoup sont encore récalcitrants vis-à-vis de cette méthode.
Ainsi, dans ce discours, je vais parler de l’euthanasie active, je vais vous démontrer que l’euthanasie ne peut pas être considérée comme un meurtre, mais que néanmoins, elle n’est pas non plus une solution humaine !
Pour commencer, je trouve cette pratique totalement justifiée dans les cas extrêmes ! L'euthanasie active est cette pratique où l'on donne la mort par l'administration de médicaments ou de poisons qui provoquent la mort du malade. C’est cette dernière qui est mise en cause par ses adversaires qui la qualifient tout simplement de « meurtre » en se basant sur le principe que la vie humaine est sacrée et que personne n'a le droit d'ôter la vie de son prochain. Je trouve qu’il n’en ait rien ! Si la personne ne trouve plus la motivation de rester en vie, et surtout si cette personne souffre depuis trop longtemps il faut la laisser partir. Exemple
Mais la plupart du temps, ce sont souvent justement les médecins qui refusent l'euthanasie en s'appuyant sur le serment d'Hippocrate, le fameux code moral propre de la médecine, qui les met dans l'obligation de sauver des vies humaines et non pas d’abréger leur souffrance en les tuant.
La justice, aussi dans la plupart des pays, s'oriente dans ce même sens et punit sévèrement les médecins qui pratiquent l'euthanasie. Selon moi, la justice n’a pas son mot à dire en effet, c’est un accord entre le patient et le médecin et éventuellement les proches du malade, mais en aucun cas une personne qui pratique l’euthanasie doit être sanctionnée par un emprisonnement en d’autres termes, le médecin agit à la volonté du malade et si le malade veut partir c’est son droit.
Ainsi, on peut penser comme Henri Caillavet membre du Comité national d'Éthique et président d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité "La vie m'a été imposée, je n'ai pas demandé à naître. Par contre, je suis libre de me donner la mort lorsque je le souhaite." Selon lui, le droit à mourir est une des libertés les plus essentielles de l'humanité.
Ensuite, je pense que l’euthanasie ne peut pas être considérée comme un meurtre. En effet, cette réflexion est murement réfléchie par le patient et la mise en pratique est
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