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Résume de Braud

Résumé : Résume de Braud. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Octobre 2021  •  Résumé  •  1 802 Mots (8 Pages)  •  474 Vues

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Fdaouch Ilyass

300202894

Résumé de Braud.

Braud, P. (1998).

Sociologie politique

, Paris, L.G.D.J

Travail soumis

Noomane Raboudi

POL1501B

Introduction à la science politique

Université d’Ottawa

05-10-2021

Les médias actuels ainsi que la plupart des agences de presses depuis la prise de Kaboul par les Talibans le 15 aout 2021 utilisent l’appellation répétitif : Prise de pouvoir par les Talibans afghan. Ainsi, dans un cadre politique l’usage du mot <<pouvoir>> est, par conséquent, crucial pour une appréhension des dynamiques concernées. Dans le domaine des sciences sociales, et du cadre d’analyse en science politique, une délimitation se crée à assimiler la politique a une lutte de pouvoir, le concept peut-être adopter par plusieurs perspectives différentes, de l’aspect psychologique au sens le plus administratif et pratique du terme, ce qui démontre l’utilité du texte suivant de Phillipe Braud. Ancien directeur du département de Science politique de la Sorbonne, dans son manuel << Sociologie politique >>, suggère une analyse des notions importantes dans les domaines des sciences sociales, plus particulièrement des sciences politiques. La référence d’étude est un manuel académique. Au premier chapitre (Le pouvoir), renforcer par une pluralité de discipline, Phillipe Braud souligne l’importance de compréhension de la notion par l’intermédiaire d’un point de vue interactionniste, à l’aide d’une schématisation répétitif entre deux acteurs A et B dont l’exercice du pouvoir s’applique entre eux, différemment dans différents contextes selon divers aspects. Le titre de manuel propose et démontre un usage d’outil et d’une méthodologie sociologique pour expliquer la notion. Il se penche alors sur la particularité des relations de pouvoir. 

Quelles sont les caractéristiques de la relation de pouvoir d’un point de vue interactionniste ? Il démontre ça en 4 grands axes d’analyses. 

Premièrement il se penche sur la cause comportementale de l’exercice de pouvoir, ensuite il définit la notion comme une restriction à la liberté d’autrui, il stipule que l’exercice du pouvoir est envisagé comme l’expression d’un échange inégal, pour finalement adopter une explication du pouvoir comme un pouvoir d’injonction et d’influence. 

 

La détention ou l’exercice d’un pouvoir sur des acteurs implique d’après le premier axe d’analyses des conséquences, dont des comportements spécifiques. Elle implique aussi l’obligation de responsabilité d’où l’importance d’imputer le pouvoir a un des acteurs A ou B, comme proposée par la formulation de Robert Dahl. L’auteur souligne deux difficultés importantes pour comprendre la notion de pouvoir dans son sens comportementale. 

Imputer dans son sens, de déformer la réalité et de déguiser l’opinion populaire ou majoritaire par les détenteurs de pouvoir. L’acteur du pouvoir ayant la capacite d’adaptation à l’ensemble de la population pour la prise de décision par exemple. Les décisions et les responsabilités étant importantes dans le cadre d’analyse de Braud. L’auteur souligne alors deux cas possibles, l’exercice politique manifestant une décision ou une absence de cette derniere,mais qui dans les deux cas témoigne d’une importance de l’imputation du pouvoir. L’imputation étant en elle-même, tout seul futile pour couvrir une analyse complète de la notion due aux problématiques additionnels qu’elle peut apporter.  

Ensuite Braud explique le pouvoir à travers un conflit d’intérêts et d’aspiration, il est nécessaire si on observe la dynamique entre deux acteurs A et B que leurs intérêts soient divergents puisque d’apres Steven Lukes le pouvoir efficace consiste à impliquer et modifier les intérêts de l’acteur B (dans le cas ou A exercé du pouvoir sur B), si B présente les mêmes intérêts que A alors le pouvoir de A si on reprend la définition donnée par Lukes seraient incohérant. Or, il est possible que dans le cas de l’idéologie comme présenter dans les états totalitaire, l’opinion populaire superposer avec la pensée dominante découle d’une volonté de contrôle et de converger l’intérêts du peuple ou de la nation a l’idéologie du détenteur de pouvoir. Braud dégage trois types de conflits le conflit concrétise ou A et B sont complètements divergents suivants leurs intérêts et leurs exigences, le conflit potentiel ou A et B présentent différents intérêts mais ou A peux présenter un pouvoir sur B mais qui par crainte de B ou d’un tiers tel que l’état ne peux exercer son pouvoir, puis le conflit latent ou A et B semble converger grâce à une intériorisation du discours de B alors que les réels intérêts divergents. Ces 3 conflits qui témoignent de scenarios différents. La question alors de la liberté est posée par Braud. 

 

Les libertés sont ainsi généralement considérées aux antipodes des concepts de pouvoir, d’un point de vue du sens commun, outil utilisée en analyse sociologique pour la compréhension d’un fait social suppose que l’influence et l’exercice du pouvoir d’un acteur A sur B contraint une aliénation partielle du détenteur du pouvoir sur l’autre. En science politique, le pouvoir d’état influe sur les libertés individuelles. Lalande dans le texte de Braud nous propose une définition ou il définit le pouvoir comme la suppression et la limitation d’autrui. D’un point de vue plus philosophique du terme la question de liberté inclut la notion de volonté. Benjamin Constant distingue liberté des modernes, ou l’état ce voit dans l’interdiction d’influencer la sphère individuelle et la liberté des anciens en référence à la démocratie athénienne ou les citoyens participent activement a l’exercice du pouvoir. Ces 2 actes sont par conséquent considérée par des outils de puissance et symbolise le pouvoir de l 

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