Histoire Des Idées Politiques

Histoire des Idées Politiques

Bibliographie :

Jean Touchard : Histoire des Idées Politiques

Jean Jacques Chevallier : Histoire de la Pensée Politique

Jean Jacques Chevallier : Les grands œuvres Politique de Machiavel à nos jours

Pascal Ory : Histoire de la pensée politique

François Chapelais et Eveline Pisier-Kouchner : Les conceptions politiques du XXème Siècle

Introduction

L’histoire des idées Politique est l’ensemble des théories politiques depuis que la politique existe en occident (Antiquité). Le mot politique peut se définir par trois sens :

• C’est la vie politique, tout ce qui organise les relations entre les pouvoirs politique au sein de l’Etat. Définition restreint car ne s’intéressant qu’au pouvoir et à ses forces centrifuge (partis politique)

• La politique concerne tout ce qui touche à l’organisation de la cité. Cela intègre le 1er sens de la politique mais aussi d’autres problèmes comme les buts de la cité. C’est une question de finalités (Bien commun, la sécurité de tous, un bien-être minimum pour tous). La politique comme organisation pose un second problème qu’est la légitimité du pouvoir (Dieu, corps social, compétence des gouvernements) et les rapports et les liens (séparation, filiation absence de séparation) entre le pouvoir et la société. Quel sont les relations entre les citoyens (Méritocratie, noblesse etc). Définition issus d’Aristote, Platon.

• La politique peut être également l’ensemble des rapports entre la cité et l’extérieur. Cela concerne autant les rapports entre la cité et ses congénères. Cette hypothèse ne s’est pas présentée en Occident avant le XVIIème qu’avec le développement de l’humanisme ou s’intéresser à réfléchir les moyen politique permettant d’échapper a la guerre, avant cette époque le rapport ne se faisait que pas la guerre. Une troisième expression peut découler, les relations dans la cité même pose le problème de qui compose la cité (Citoyen/Barbares/Esclave/Femme). C’est la définition qui est privilégié en histoire des Idées politiques.

La signification de la politique n’est pas la même selon l’époque. Elle est variable, par exemple la place de la femme devient politique qu’au XIXème siècle. On étend aujourd’hui à d’autre question (animaux). Ce que l’on appelle politique est une question variable selon les époques et les systèmes politiques. La politique est la recherche de ce qui peut être considérer comme politique par telle société. Il n’y a pas de limite à priori a ce qui peut être considérer comme politique. Le champ politique est large. On rencontre les idées politique partout dans la société sur n’importe quelle support (théorie, littérature, cinéma, affiche, slogan, discussion etc.). L’idée politique ne limite pas à la théorie.

Jusqu’au XIXème siècle, l’occident pense la politique comme corps. « Analogue d’un corps ». On sort de cette métaphore, avec la foule puis avec les masses. On va s’intéresser à la naissance de l’individu dans la politique. L’expression politique du corps provient d’un patricien romain de la Rome Archaïque (6éme siècle avant JC), Agrippa Memenius Lanatus. Il est fondateur de la conception de la cité politique en tant que corps. C’est le 1er à mentionner le terme de corps pour qualifier la cité (fondateur de la métaphore organiciste de la politique). Il écrit ce livre pendant un conflit en Patricien et Plébéiens. Ces derniers quittant même la cité d’eux même, il s’exclut eux même de la cité. Lanatus est chargé de ramener les plébéiens de la cité romaine, il fait négocie avec les deux corps pour faire comprendre qu’ils ne peuvent les uns sans les autres. Lanatus veut construire la concorde entre les citoyens en employant la métaphore de corps politique dans cette phrase. Les Patricien constitue ou représente la tête du corps social et ne peuvent vivre sans l’estomac du corps(les Plébéiens), l’estomac ne peut pas vivres sans tête. Un corps est composé de membre différent, il a besoin de tous ces membres et qui tous participe à leur matière et qui fonctionne tous au bien-être commun. C’est le corps tout entier qui incite à chacun la place de chacun dans le corps. Une hiérarchie entre les individus apparait, ils n’ont pas tous la même place, certains sont indispensable(le chef ou l’âme), il faut un chef pour faire vivre le corps politique mais ils a aussi des organes dont on peut se passer. La question est de savoir qu’elle membre on peut se passer et à quel prix. Quand un membre est malade ou malsain pour le corps, quel traitement doit lui réservé (soin, élimination). Comment peut une société peut-elle estimé qu’un membre est malade. Cette métaphore apparait de multiple manière en occident. Elle est traitée de manière différente selon les idéologies. Selon la nature de la Théorie, certain membre ou groupes sont indispensable ou pas aux corps. Ce qui importe en delà de ces variation, c’est le lien entre la médecine et la politique. Pour Michel Foucaud, la politique à un lien avec la médecine, l’Occident s’est constitué autour de la « Bio-Politique » (la politique qui prend pour objet, la question de la vie dans la politique. La politique en Occident s’est illustré avec la volonté de produire le vivant, le pouvoir doit et se préoccupe de plus en plus de ces questions). La politique est une sorte de médecine. L’un des enjeux de la politique, c’est de savoir comment la société va traiter les corps des organes qu’elle estime indispensable. Exemple dans l’hygiénisme, l’Occident est considéré comme décadent, ou des groupes sociaux exprime cette dégénérégence comme les plus pauvres, les ouvriers. Cette pensée est dominant en Occident jusqu’aux XIXème siècles et persiste au XXéme dans les pensées racialiste.

Après le XXéme siècle, on ne peut plus s’autoriser l’élimination des membres malsain du corps. Une autre médecine apparait. Comment faire en sorte qu’il n’est plus de maladie ou le moins possible. On ne lutte plus contre les maladies mais on essaie d’éviter qu’il apparaisse.

Le Corps Politique

Chapitre 1 : Ernst Kantorowicz : Les deux corps du Roi

C’est un auteur Allemand persécuté par le régime National Socialistes. Dans son ouvrage, les deux Corps du Roi publié en 1957 mais également un autre ouvrage nommé Mourir pour la Patrie.

Les deux corps du Roi est

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