Eric J. Hobsbawm, La Guerre Froide
Fiche de lecture : Eric J. Hobsbawm, La Guerre Froide. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cecile mbya • 5 Mai 2017 • Fiche de lecture • 1 322 Mots (6 Pages) • 1 410 Vues
Eric J.Hobsbawm, «la Guerre froide », dans E.j. Hobsbawm, L’Âge des extrêmes, Paris, Bibliothèque complexe, 1994.
Le but de l’auteur est de montrer l’évolution des rapports de force entre l’URSS et les États-Unis pour se faire dès le début il va mettre en évidence le caractère inégal de combat entre les deux puissances. (On constate également une domination total des États-Unis sur l’URSS dut à leur pouvoir d’influence important et aussi à la richesse de leur avoir qui était plus prenante que ces rivaux).
La thèse de l’auteur va se fondée sur le fait que les États-Unis vont être responsable du déclenchement des conflits et du déclenchement réel des hostilités. Dut au faite qu’elle possède une richesse plus importante que c’est rival URSS, elle va amener une course effrénée aux armements qui va lui permettre de vaincre le combat, car les soviétique manques de fond et se retrouve ruiner ce qui entraine la chute du bloc soviétique.
Les principaux arguments :
Le premier argument de l’auteur porte sur les explications qu’il nous donne sur les divers conflits qu’il eut existé, et par le faite que le monde à échapper plusieurs fois à la destruction. Mais que la guerre froide ne représente pas un danger imminent en tant que guerre mondiale. « Des générations entières ont grandi à l’ombre de batailles nucléaires qui, croyait-on généralement, pouvaient éclater à tout moment et dévaster l’humanité » (Réf livre P.304). Il nous montre les bon cotes d’une telle instabilité politique, les deux superpuissances se sont développé plus rapidement durant cette période, elles ont plus progressé lorsqu’elle accepte par exemple la distribution des forces à la fin de la seconde guerre mondiale, source de rapport de force inégale mais porteuse de fond incontesté. Son approche insiste sur la responsabilité américaine, car pour l’auteur, les responsabilités de la Guerre froide sont rechercher entièrement par les États-Unis, qui veulent le maintien total de la suprématie effective « si un acteur introduisit l’esprit de croisade dans la Realpolitik de la confrontation internationale, et l’y cultiva, c’est bien Washington.»(Réf livre P.317). Les conséquences politiques de la Guerre froide sont une polarisation du monde en deux blocs distincts enfin de lutte contre le communisme «L’URSS contrôlait une partie du globe ou exerçait sur elle une influence dominante- la zone occupée par l’armée rouge ou d’autres forces communistes à la fin de la guerre-sans chercher une à étendre sa sphère d’influence par la force des armes». (Réf livre P.305) La partie américaine «les États-Unis contrôlaient et dominaient le reste du monde capitaliste aussi bien que l’hémisphère occidental et les océans, héritant des vestiges de l’ancienne hégémonie impériale des ex-puissances coloniales». (Réf livre P.305)
Le deuxième argument de l’auteur parle essentiellement de la guerre froide qui demeure ancrer dans les esprits comme une folie irrationnelle, qui a permis au camp vainqueur de détenir les avantages sur le monde et rester en tête du pouvoir en tant que leader but atteint et souhaiter par les États-Unis, En ce sens, l’affrontement a été utile. Ces quarante année fut long et rude car le monde vivaient dans une posture d’instabilité et de fragilité «contre une guerre qui pouvait éclater à tous moment» (Réf livre P.338). Mais la grande évolution va être celle qui a permis au siècle de se clore sur un monde urbanisé, globalisé, modernisé, créé donc un bilan plutôt positif et la fin de guerre froide ne marque pas la fin d’un conflit international mais plutôt celle d’une époque car il source de transformation total pour les hommes politiques et les économistes habituées à l’ancien ordre mondial. La seule inquiétude reste sur le phénomène et le milieu social, ou l’on peut constater que les sociétés ont perdu leurs repères sociaux dut la crainte, présente et qu’ils affrontaient tous les jours. La période de détente permit l’existence d’un ordre international relativement stabilisé. Dans des questions relatives à l’économie, cela prend toutes une notre tournure car les dépense sont très importants car les grands États industriels avaient sans cesse rivalisé pour s’équiper contre une guerre qui pouvait éclater à tous moment. Les budgets militaires sont donc astronomiques et économiquement improductifs, d’où l’augmentation de la dette Américaine. La maitrise de la culture à l’armement émane de la «dans ces milieux, le fusil mitrailleur Uzi (israélien), la Kalachnikov (russe) et le Semtex (explosif tchèque) devinrent des noms d’usage courant». (Réf livre P.338).
...