Le Droit De La Femme Vote
Mémoire : Le Droit De La Femme Vote. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar amin150897 • 3 Mars 2013 • 1 640 Mots (7 Pages) • 1 624 Vues
Le droit de vote
''Le vote pour les femmes? Quelle idée saugrenue! Leur cerveau est plus petit que celui des hommes, preuve qu'elles sont moins intelligentes. Elles ont tendance à l'extrémisme et partiraient en campagne sans demander l'autorisation de leur mari. Et cela ne favoriserait pas l'égalité car leur pudeur naturelle les empêcherait d'aller voter en cas de grossesse, et compte tenu que les femmes des campagnes ont plus d'enfants que celles des villes, celles-ci seraient avantagées de façon injuste. Et si les femmes étaient réellement élues, quelle source d'humiliation pour leurs maris! Ils seraient obligés de faire la cuisine...''
Cette introduction est provocatrice, mais elle est destiné aux femmes, faire réagire ces conjenaire feminine en se sentant insulté peut-être meme surement qu'elle réagiront
Les femmes avaient le droit de vote au Moyen Âge, selon l’historienne Régine Pernoud. Ce droit a été supprimé par un décret du Parlement en 1498
Le premier pays a avoir accepté le droit de vote des femmes étais la suède en 1718. C'est vraiment à partir du 20ième siècle que un par un tout les pays on commençais a accepté ce droit. Le plus tardive est l'Arabie-Saoudite qui a accepté qu'en 2011, une date impensable au jour d'aujourd'hui!
Deux pays sont dans des situations particulières A Brunei, il n’y a pas d’élections, et les femmes sont donc privées du droit de vote au même titre que les hommes.Au Vatican, l'accès au collège électoral (Conclave) est réservé aux prêtres et comme l'église catholique romaine n'ordonne pas de femme, elles sont "de facto" privées du droit de vote. On peut observer la réticence féminine à voter Le Pen, saufchez le agricultrices et les commerçantes, le <<survote>> des femmes pour le candidat écologiste LaLonde et pour la droite modérée, les femmes en plus tendances a voter gauche , à penser aux autres et à l'écologie avant tout surtout les jeunes de 18-24. En vingt cinq ans , un tiers du corps électoral féminin a disparu, remplcé par une génération nouvelle née soixante ans plus tard. la citoynneté
Le droit devant la lois
L’égalité devant la loi ou égalité en droit est le principe selon lequel tout individu doit être traité de la même façon par la loi. Aucun individu ou groupe d'individus ne doit donc avoir de privilèges garantis par la loi.Et surtout pas les femmes vis-à-vis des hommes
L’égalité des femmes et des hommes devant la loi est nécessaire pour que les femmes et les filles réalisent leur plein potentiel et jouissent d’une réelle égalité de droits et d’opportunités avec les hommes. Non seulement les lois discriminatoires à l’encontre des femmes compromettent-elles l’égalité des sexes, mais elles contribuent également à véhiculer l’idée que l’Etat considère que les femmes ne se trouvent pas sur un pied d’égalité avec les hommes.
La modification des lois à caractère discriminatoire n’éliminera pas la discrimination et l’adoption de lois destinées à promouvoir l’égalité des genres n’engendrera pas automatiquement l'égalité. Néanmoins, sans lois destinées à promouvoir l’égalité des droits des femmes et des filles, celles-ci demeurent vulnérables et privées du soutien des autorités et des normes légales et réglementaires nécessaires à l’égalité.
Egalité Maintenant appelle à l’abrogation de la totalité des lois discriminatoires à l’encontre des femmes, conformément aux normes internationales et régionales en matière de droits humains, ainsi qu'à l'adoption de mesures destinées à promouvoir l'accès des femmes à la justice à tous les niveaux.
Le droit de travailler
Les femmes ont toujours travaillé et ont toujours été nombreuses à le faire. Contrairement aux idées reçues, le travail des femmes n’est pas d’origine récente et son développement n’a pas été linéaire. Son histoire met en évidence l’alternance de périodes favorables, durant lesquelles le statut et les droits des femmes progressent, et de périodes de régression ou sont remis en question non seulement les droits des travailleuses mais aussi leur droit au travail.Le travail des femmes, un droit fortement contesté.Si au XIIIème siècle, les femmes peuvent exercer divers métiers (médecins, meunières ..), leur progressive exclusion des métiers prestigieux et rémunérateurs annonce la remise en cause de cette relative liberté. En 1675, il n’en existe plus que trois types de metiers accesible aux femmes : lingères, bouquetières et limières-chanvrières.Les salaires féminins sont misérables.Au XVe siècle, ils représentent la moitié du salaire masculin. Cent ans plus tard une journalière gagne les 2/5 de ce que gagne un journalier ! Il existe alors deux salaires, le salaire masculin et le salaire féminin, toujours inférieur au premier.Au XVIIIe siècle, le travail féminin à l’extérieur du foyer est assimilé à la prostitution. Le travail à domicile est vivement encouragé. L’exploitation est aussi grande qu’à l’extérieur mais la moralité est sauve : la femme reste chez elle.A la fin du XIXème siècle, le travail des femmes est visible et intégré au développement économique.En 1906, 44,8 % des femmes sont actives. La plupart forment une main d’oeuvre très exploitée. Leur situation heurte la conception dominante du rôle social de la femme. Épouse et mère avant tout, c’est sur elle que repose l’équilibre familial. voire
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