Le travail n'est-il qu'une contrainte ?
Dissertation : Le travail n'est-il qu'une contrainte ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Roxane Neufville • 24 Janvier 2019 • Dissertation • 916 Mots (4 Pages) • 2 128 Vues
DISSERTATION DE PHILOSOPHIE
Le travail n’est-il qu’une contrainte ?
Le travail peut se définir comme une action que l’homme a sur un matériau pour le transformer et pour satisfaire des besoins précis.
La contrainte est en général considérée comme un obstacle à la liberté, à l'épanouissement de soi : elle limite l’être. Il peut parfois s'agir de la contrainte naturelle ou parfois d’une contrainte sociale qui se relie au travail.
Bien que le travail ait une considération négative, à savoir une contrainte, n’y a-t-il pas des exceptions ?
Il faut aussi savoir quelles formes prend la contrainte, est-elle exclusivement négative ? Dans un premier temps, on analysera les aspects contraignants du travail. Et dans une deuxième phase de la réflexion, on mettra en évidence la positivité du travail.
Premièrement, intéressons nous à la contrainte du travail. Tout d’abord, une contrainte peut-être naturelle. Il faut considérer que le travail est une nécessité qui s’impose à l’homme pour produire les conditions et les instruments nécessaires pour sa survie, cela peut aller d’un salaire à un simple sentiment de se sentir utile, ce qui est très satisfaisant. Il est vrai que pour tout travail ou presque, il demande une capacité physique ou intellectuelle se qui contraint l’homme à s’entrainer ou se cultiver, je parle par exemple des études à faire pour arriver à un métier qui est épanouissant. Même sans parler d’un métier, on peut évoquer l’affrontement de la nature, qui est pareillement contraignant puisque les capacités naturelles de l’homme ne sont, probablement, pas assez développées afin d’affronter la nature et la société qui sont si complexes.
Aussi, ce qui peut se rajouter à la contrainte naturelle, c’est la contrainte sociale, comme je le disais, elle est également dure à affronter et à gérer. En effet celle-ci exige des individus une certaine forme d'utilité et de productivité. Bien qu’une contrainte importante, lorsqu’elle est correctement affrontée, l’individu admet un sentiment de bonheur et en autre, l’épanouissement. De plus, il faut travailler pour gagner sa vie et le travail permet aussi d'acquérir par échanges, des choses qu'on ne peut créer soi-même. Il accorde à l’individu une forme d’intégration dans la société, puisque de nos jours, tout le monde travaille et par conséquent, sans travail, l'individu se voit condamné à une certaine forme d’exclusion de la société. Par exemple, un travail débouche sur l’obtention d’un salaire, et donc, sans travail, l’argent peut parfois manquer à l’homme qui peut ressentir un sentiment d’exclusion puisqu’il n’a parfois pas les moyens de pratiquer une activité ou bien d’acquérir un certain bien qu’il lui plait réellement.
Enfin, il existe des contraintes spécifiques selon les cas. La contrainte sociale, qui a fait le sujet de l’argument précédent, se repère également dans la nature de travaux, l’organisation dont ils dépendent, mais encore des restrictions appliquées sur le choix d’un travail. Ces restrictions sont liées non seulement aux capacités physiques, mais aussi aux capacités intellectuelles,
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