Le déterminisme: L’homme est-il voué à un destin choisi d’avance ?

Le déterminisme

L’homme est-il voué à un destin choisi d’avance ?

Nous observons souvent des familles ou groupes d’individu qui se compare à d’autre. Par leurs différences de richesse et d’apparence, plus précisément. Comme si les gens seraient prédestiné à être lié à une classe social distincte. Le déterministe serait-il une notion décidant pour l’homme de sa place dans la société ? Serait-il impossible de sortir de ce cercle ou nos ancêtres valsaient si paisiblement en restant accroché à leurs obligations. Plusieurs philosophes ce sont penché sur la destinée de l’homme. Karl Marx disait pour sa part que l’homme est presque obligé d’être dans la même classe social que ses parents. Tandis que Jean-Paul Sartre dit, avec assurance, que l’homme n’est aucunement prédisposé à de telles obligations. Il y a donc d’un côté, un opinion qui condamne l’homme avant même qu’il soit né à une existence qu’il sera forcé de vivre, et de l’autre côté un opinion qui démontre que l’homme puisse être ce que bon lui semble.

La question à ce posé ici, serait de savoir si l’homme est déterminé, d’après sa classe social, et son environnement à être comme ses proches. Sommes-nous déterminés à être ce qui nous a été dit d’être ? Ou sommes-nous libre de choisir notre destin ?

Si l’ont ce fit aux recherches sur les classes social de Marx. L’homme nait dans une classe précise, celle de sa famille. Il précise également que depuis le début des temps de l’homme, il y a toujours eu des classes sociales. Donc il serait impossible pour l’homme de sortir de cette habitude, car elle ferait partit de l’humain. D’après le philosophe, l’homme serait presque automatiquement destiné à vivre de la même façon que tous ses ancêtres ont vécue avant lui. Dans un temps eu peu plus anciens, il est vrai que ses observations semblent évidentes. Prenons par exemple un pauvre, né dans une famille pauvre il fera des besognes de pauvre. Il s’habituera à vivre comme un pauvre et n’aura jamais l’occasion de s’éduquer car cela sera réservé aux hautes classes. Et si on obtient la chance d’être né dans une famille riche, tous nous sera toujours donné, nos enfants vivrons de la même sorte par la suite. Mais qu’en n’est-il d’aujourd’hui ? Pouvons-nous réellement émettre ces théories de nos jours, avec notre société beaucoup plus facile à vivre qu’autrefois?

Prenons un philosophe plus récent comme deuxième exemple. Jean-Paul Sartre né en 1905 est presque cent ans plus jeune que Marx (né en 1818). Il a donc vécu dans une époque bien plus rapproché de la nôtre. Cet homme possède une opinion contraire à Marx, il croit que l’homme n’est aucunement destiné à rien que ce soit. L’homme pourrait, d’après Sartre, d’après ses choix, vivre de la façon qu’il l’entendra. La théorie de l'existentialisme de Sartre prouve donc le contraire du déterminisme. Il tente à démontrer que l’homme d’après ses choix peu combattre le déterministe qui joue contre lui. Il croit en fait que l’homme n’a aucune nature défini propre à lui-même. Il croit plutôt que l’homme est libre de ce définir lui-même. Il expliquera ceci à travers son principe que l’existence précède l’essence de l’homme. Ce qui pourrait être défini tous simplement par «l’homme existe d’abord, et ce défini par la suite». Il explique également que dans cette théorie de l’existentialisme Dieu n’est pas. Car dieu est une création que l’homme invente par la suite. L’homme étant présent avant ses croyances il inventera donc les religions. Cette théorie est donc une théorie athée. Cette théorie semble bien plus plausible que celle de Marx. Dans son seul contexte que de nos jours nous pouvons être bien plus en contrôle de notre destin. Notre époque est une époque où la liberté est très importante.

Ce qui rend ces deux théories difficilement comparables sont les années qui les séparent. Il est vrai que dans le temps de Marx les classe social dans laquelle nous étions né allais pour la plupart devenir la nôtre. Marx vivait dans une époque bien moins libre que la nôtre également et il serait faux de dire que les classes sociales n’ont rien à voir avec notre destin. Mais pour une question de plus grand rapprochement de notre époque, Sartre semble être bien plus près de la réalité.

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