De Descartes à l'Empirisme

Rodrigue Maalouf[pic 1]

Groupe 06

L’être humain

(340-102-MQ)

Travail synthèse

De Descartes a l’empirisme

Travail présenté à

Robert Gaspard

Collège de Bois-de-Boulogne

Département de Psychologie

29 mars 2017

De Descartes a l’empirisme

Descartes possède une certitude indubitable. Il est; et son être c’est sa pensée. « Je pense donc je suis », cette phrase traduit le cogito dont ce dernier traite et elle sous-entend que on ne laisse subsister comme invincible certitude que l’acte même de douter et de penser. Pour Descartes, il y a donc des idées innées qui ne viennent pas de l’expérience. Descartes a cru qu’on pouvait déduire a priori – à partir de nos idées innées – les principales lois de la nature et c’est de la que nait la critique de Descartes et ses idées par les Empiristes tel que David Hune, Bacon et Kant. Pour les Empiristes comme David Hume toutes nos connaissances viennent de l’expérience et la raison n’a pas de principes innés antérieurs à l’expérience. De plus, Bacon est le premier qui va souligner le rôle de l’expérience, il va montrer les insuffisances de la logique formelle et  la nécessité de recourir à l’expérience pour découvrir des vérités. Finalement pour la critique de Kant, il affirme : je peux penser les objets de la métaphysique (Dieu, Moi, le Monde), mais non les connaître, au sens où je peux connaître les lois physiques et il affirme aussi que la quantité de mouvement dans l’univers est constante. Il va donc critiquer les idées de Descartes et reprendre des traditions empiristes, pour arriver à cette conclusion : La connaissance est plutôt quelque chose créé par l’esprit.

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