Fiche de synthèse : L’autre est-il comme moi ?
Fiche : Fiche de synthèse : L’autre est-il comme moi ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar guigui-2908 • 23 Novembre 2015 • Fiche • 711 Mots (3 Pages) • 997 Vues
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Fiche de synthèse : L’autre est-il comme moi ?
étude en lien avec : conscience (chap1) ; langage (chap5) ; Société Etat (chap13) ; droit et justice (chap 14).
Problème de réflexion :
- Problème de compréhension : Comment peut-on se comprendre les uns les autres ?
Plan du cours :
- De la connaissance de soi à la reconnaissance de l’autre.
1) Le problème de la conscience de soi
2) La dialectique des consciences de soi
3) Autrui est un médiateur entre moi et moi-même
- Autrui principe de ma responsabilité morale
- Le respect de l’autre est une obligation
- Autrui et moi constituons une même humanité
Définitions :
- Solipsisme : Terme philosophique pour désigner l’état de solitude des consciences.
- Autrui : Désigne l’ensemble des autres hommes, que nous pouvons considérer comme un autre soi-même, un alter-ego.
- Alter-égo : Vient du latin « alter » qui signifie autrui et « ego » qui signifie pareil. Un alter ego est quelqu’un comme moi, égal mais qui n’est pas moi et je ne suis pas lui.
- Dialectique : relation dans laquelle la conscience de soi devient pour soi en passant l’épreuve de son contraire c’est a dire un autre soi.
- Ethnologie : C’est l’étude des cultures primitives.
- Ethnocentrisme : Ce sont les caractéristiques communes à toute culture (chacun juge à partir de ses propres critères).
- Altérité : C’est un concept philosophique évoquant le caractère de ce qui est autre.
- Conscience : Du latin « cum-scire » exprime l’idée d'une connaissance de soi.
- Respect : Différence dont on fait preuve envers quelqu’un qui doit être une obligation morale.
- Honte : sentiment de faute.
- Reconnaissance : Une lutte dans la mesure où si on veut être reconnu l’autre le désire aussi.
- Dialogue : caractère inter subjectif, on ne peut pas penser ni parler seul.
Analyses :
- C’est le phénomène que toute conscience vit repliée sur elle même, elle n’est pas ouverte aux autres. Par exemple si je vois quelqu’un rire, j’en déduis que cette personne est heureuse puisque rire m’ai déjà arrivé. Mais cette relation à l’autre est indirecte puisque l’on n’est pas l’autre, on ne peut pas se mettre à sa place. (métaphore : je me met à la place de)
- La reconnaissance est une lutte est non une forme de respect. En effet si je veux être reconnu l’autre veut aussi être reconnu. On appelle ça la rivalité naturelle entre deux consciences.
- La honte est associée au sentiment de faute, la honte est par conséquent intégrée dans la conscience. Il peut y avoir contradiction entre nos valeurs et notre conscience avec la honte.
→ La honte pour Sartre apparaît avec le regard de l’autre. On a honte car autrui nous a vu. Par conséquent il n’y a pas de vraie honte que par rapport aux autres.
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