Le bonheur

Philosophie

Introduction :

Ce texte est un extrait du livre "Déontologie, ou science de la morale", qui a pour auteur Jérémy Bentham. Le thème général de ce texte est le bonheur individuelle et collectif, la tension interne évoque est que pour parvenir à son bonheur il faut cherche le bonheur des autres, alors que de nos jours on cherche seulement son propre bonheur. Le problème pose dans ce texte est que nous ne sommes pas oblige de cherche son propre bonheur pour être heureux mais on peut aussi cherche celui des autres pour être heureux. La thèse de l'auteur est "celui qui assure un plaisir ou évite une peine à autrui, contribue indirectement à son propre bonheur". Ce qui étonne dans ce texte c'est que nous ne sommes pas oblige de cherche le bonheur d'autrui pour contribue à son propre bonheur ou celui du collectif, mais on peut aussi cherche notre propre plaisir et en même temps contribue indirectement au bonheur d'autrui et du collectif (ex : Nos parents ont du bonheur lors ce que nous sommes heureux), donc on contribue au bonheur d'autrui à travers le sien. Ce texte se dive en deux grandes parties, tout d'abord la première qui se situe du début de l'extrait jusqu'à la ligne 10, celui-ci définie et met en évidence la thèse de l'auteur et ces nuances et comme deuxième partie de la ligne 11 jusqu'à la fin du texte qui elle a comme fonction l'explication et la démonstration de cette manière de pense via des exemples sur les moyens d’y parvenir.

Question :

2) Le sens implicite de cette thèse est que nous sommes oblige de contribue au bonheur des autres pour contribue et atteindre notre propre bonheur, mais donc si on ne parvient pas a contribué au bonheur d’autrui nous n'arriverons jamais à atteindre son propre bonheur. Le problème c’est tout le monde n'a pas la même définition du bonheur et la manière d’accède à celui-ci, il y a des personnes qui accède à ce bonheur via des biens matérielle d’autre via des sensation et d’autre via des propos ou des présences. Cette thèse peut être compare à celle de Blaise Pascal qui est que l'homme est habité d'un désir d'absolu (son propre plaisir) qui ne peut être comblé par les substituts de la vie quotidienne (qui représente le bonheur des autres). C'est pourquoi il demeure insatisfait. Nous ne chercherions l'absolu, car nous gardons que la trace de ce bonheur, comme un manque. Ce manque ne peut pas être comblé (comme par le fait de procure du bonheur a d’autrui). Le véritable objet de notre désir est infini et absolu.

3) Le sens implicite de cette thèse est que tous les hommes sont confrontés à deux choix, l’un qui permet de s’apporte du plaisir instantanément mais qui n’en apporte pas à d’autrui

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