Le Bonheur

Premièrement, définir le bonheur:

La définition de la pauvreté (d’après Wikipedia) est la suivante : « La pauvreté est l'insuffisance de ressources matérielles, comme la nourriture, l’accès à l’eau potable, les vêtements, le logement, et des conditions de vie en général, mais également de ressources intangibles comme l’accès à l’éducation, l’exercice d’une activité valorisante, le respect reçu des autres citoyens. ».

La pauvreté est très souvent, et à juste titre, attribuée au manque d’argent. Après tout, dans notre monde, où l’on peut tout trouver en vente, il suffit d’avoir les moyens pour ne manquer de rien. Or, d’après Epicure (IIIe siècle av. J.C), « Le bonheur est le plaisir en repos de l'âme qui naît spontanément de la satisfaction des besoins naturels et nécessaires, dont les deux plus importants sont, outre la sécurité et la santé, la sagesse et l'amitié. ». On remarque que les besoins ainsi décrit, à part l’amitié, qui apparait naturellement dans une collectivité (« L’amitié nait de la découverte d'affinités ou de points communs entre deux personnes »; dans une collectivité, où de nombreuses personnes vivent ensemble, il y a forcément des similitudes d’affinités.), sont les besoins qui ne sont pas satisfaits en cas de pauvreté.

Cependant, la vrai question ne devrait-elle pas être «l’argent fait-il le bonheur des gens ? »? De là la différence que la vérification de cet adage dépendrait également de la nature de ces « gens ». En effet, nous vivons dans un monde où chacun est centré sur son univers, sur sa vie et ne peut envisager son bonheur sans confort personnel. Vivre dans une belle maison, pouvoir faire plaisir à sa famille en lui offrant des cadeaux, n’est-ce pas là la représentation même du bonheur ?

Comme nous l’avons démontré plus haut, le confort est essentiellement une question de moyens financiers. D’ailleurs, la majorité des hommes vivent leur vie en tendant à améliorer ces moyens financiers. Certes, les gens aiment leurs métiers, mais.

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