Etude d'un livre philosophique

Philosophie: Étude de lecture  

Livre : Les pensées, Pascal

Biographie et contexte rapide : Blaise Pascal, mathématicien, inventeur, philosophe français. Né le 19 juin 1623 au moment de dépassement du clivage entre l’église et la science. Il décède à  l'âge de 39ans, le 19 Août 1662 à Paris, d'une maladie incurable laissant derrière lui, son œuvre philosophique inachevée Les Pensées qui vise à défendre la foi chrétienne. Tout en abordant de nombreux paradoxes philosophiques, tel que l'infini et néant, la raison et la foi, la vie et la mort, l'âme et la matière. Qui fût seulement publié au XIXe siècle, ressassant les quelques fragments ainsi complétés par quelques interprétations.

Définitions vocabulaires:

Dogmatisme : Forme de pensée qui suppose une « vérité » universelle, incontestable.

Pyrrhonisme : Doctrine philosophique caractérisé par un scepticisme radical.

Stoïcisme : Elle a pour but ultime la recherche de la sagesse morale et considère que la seule source du bonheur est la vertu et non le plaisir. 

La foi : vient du latin « fides » qui signifie la confiance. C'est l'adhésion ferme et entière envers quelqu'un ou quelque chose.

Concupiscence : Tendance, penchant à vouloir profiter des biens matériels.

Retour sur les chapitres : (ce que j'ai compris)

I- La liasse-table de juin 1658 : (p.41-52)

        Extrait évoquant Jésus-Christ, ainsi que la relation des Hommes avec lui à travers ses exploits par exemple: (p.43) « […] Dieu leur avait révélé qu'il devait naître un Rédempteur qui sauverai le peuple.» Par la suite il nous montre le scepticisme des Hommes à croire en lui (Dieu), il nous pousse cependant, à se tourner vers ce sauveur, (p.46) « Il faut qu'ils passent leur vie et leurs soins à plaire à Dieu ou à le chercher.» car c'est par lui que réussirons à être vertueux et trouver la «félicité», plus précisément le bonheur parfait. Il conclu se chapitre, en se basant sur Jésus-Christ comme vérité absolu, que par lui nous savons toute chose (la vie, la mort), nous connaissons Dieu par lui, nous nous connaissons nous même par lui, sans lui nous sommes perdus. (p52) «Ainsi sans l’Écriture, qui n'a que Jésus-Christ pour objet, nous ne connaissons et ne voyons rien».

Dieu

(créateur de l'univers, du monde)

[pic 1]

Jésus-Christ

(son fils/Dieu, sauveur des hommes)

[pic 2]

Bible

(raconte l'histoire de Jésus-Christ, permet d'avoir un lien avec lui)

II- Ordre : (p.53-57)

        Ce chapitre aborde la recherche de Dieu dans notre vie, avec la foi que nous avons pour lui. (p55) « la foi est différente de la preuve. L'une est humaine et l'autre est un don de Dieu. Juxtus ex fide vivit (Le juste vit de la foi.) Il poursuit son raisonnement de la foi en cherchant à démontrer que (p56) « la religion n'est point contraire à la raison.» car les hommes ont tellement méprisé la foi chrétienne qu'il ne veulent la croire pour véritable et qu'elle peut nous combler.

III- Vanité : (p.58-77)

        Pascal la vanité des Hommes du monde.(sentiment d’orgueil, défaut) Disant que la puissance des rois est fondée sur la raison et la folie (du peuple) « Ferox gens nullam esse vitam sine armis rati » (Nation farouche qui ne pensait pas qu'on pût vivre sans armes). Il poursuit en déclarant que le monde a pour fondement la faiblesse. Les hommes préfèrent souffrir qu'avoir la paix, l'homme est faible. L'imagination (faculté) est dangereuse pour l'homme car elle peut nous tromper mais elle permet aussi un changement d'angle, de vie meilleure. Exemple, les maladies sont un autre principe d'erreur, elle déploie le jugement et le sens. 

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