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La Verite

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Par   •  13 Mai 2013  •  848 Mots (4 Pages)  •  769 Vues

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La vérité

Comment définir la vérité ?

La vérité caractérise un jugement = il est vrai si il y a : preuves, expériences, arguments, démonstrations. La vérité est la conformité entre un jugement ou une représentation mental de la réalité et la réalité elle-même.

REMARQUE : distinguer le vrai du vraisemblable. La vérité suppose le langage (faire parler les faits) elle ne concerne que l’être humain

L’homme peut-il alors atteindre la vérité ?

Nietzche : « les idées que nous avons de la réalité, nos théorie ne sont que des métaphore, des métonymie, et des anthropomorphismes qui simplifie la réalité »

Dogmatisme : la vérité existe et on peut l’atteindre

Scepticisme : on ne sait pas si la vérité existe et si on peut l’atteindre

L’homme cherche la vérité même si elle est douloureuse. Quelles est la valeur de la vérité, ne peut-on pas lui préféré l’illusion qui rend parfois la vie plus supportable ? ou faut-il penser que aussi rude soit elle, la vérité est préférable ?

I. Remarque préliminaire

La vérité => caractère de conformité entre ma pensée et la vérité

Une vérité=> une connaissance vrai.

Un discours peut être sincère sans être vrai la sincérité est une croyance, dans la vérité de mon discours ma sincérité est une certitude subjective. La vérité est relative au sujet. Inversement le mensonge suppose lui aussi une intention mais de dire le faux.

« Est illusion le leur qui subsiste même quand on sait que l’objet supposé n’existe pas » KANT- [Anthropologie au point de vue pragmatique.]

Erreur => lat. errare : se tromper / une fois expliquée l’erreur peut être évité

Illusion => lat. illudere : se jouer de / même expliquer l’illusion demeure.

1. Illusions perceptible : certaine sont dû aux limites de ma sensibilité, d’autre à mon jugement qui se fonde sur mes habitudes perceptibles

2. Illusions affectives : des croyances motivées par un désire. Selon Freud on peut distinguer l’illusion de l’idée délirante l’illusion est réalisable tandis que les idées délirantes ne sont pas du tout réalisable.

II. La critique de quelque préjugé concernant la vérité.

1. L’argument d’autorité et sa critique.

« C’est vrai parce que tel spécialiste l’a dit… » => arguments d’autorité qui consiste à s’autorisé la réputation d’un spécialiste pour fonder la vérité de son propos. CEPENDANT, le spécialiste même compétant n’est pas à l’abri d’une erreur, son savoir ne produit peut être pas un savoir absolu et définitif. Ce n’est pas la réputation ni l’autorité qui produisent les jugements vrai mais c’est la vérité des jugements qui fait l’autorité de son auteur.

2. Le consensus et sa critique

Consensus => sens commun l’accord unanime ou quasi unanime

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