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Nietzsche , la volonté de puissance

Commentaire de texte : Nietzsche , la volonté de puissance. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Décembre 2012  •  Commentaire de texte  •  2 605 Mots (11 Pages)  •  1 579 Vues

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Ce texte est une œuvre philosophique de Friedrich Wilhelm Nietzsche est un philosophe du XIXème siècle. Nous allons étudier son texte tirées de « la volonté de puissance » ce texte la évoque principalement des premières réflexions de Nietzsche sur la nature du sentiment et du désir.

Nietzsche détestait le bonheur, il avait une certaine aspiration inquiète et insatisfaite au bonheur. Le bonheur se définie comme un rêve. On peut définir le bonheur comme paix, sécurité, immobilité, tranquillité. Alors le bonheur tourne les individus contre la vie qui n’est ni calme, ni stable, ni sereine. La conception du bonheur peut être perçut comme une dépression Le bonheur est un idéal lorsqu’il cesse de mentir et donne de l’espoir et de la force. Il suffit de vivre et donc d’acquérir de l’expérience. L’expérience du bonheur nous montre un avenir meilleur. L’homme est heureux quand il est satisfait. L’expérience de la vie nous prouve t-elle que le bonheur existe au moment ou l’on vit ? N’est-il pas d’abord absolument évident que nous vivons au présent, dur qu’un instant ? N’est-ce pas d’ailleurs seulement dans le présent que nous existons quand le passé et l’avenir n’existent plus ou pas encore ? En comment pourrions nous trouver le bonheur et donc être heureux autrement qu’au présent ? Qu’est ce qui permet donc à Nietzsche que le bonheur est imaginaire alors que le bonheur semble nous être effectivement donné ? Pourquoi Nietzsche dis que le bonheur est une insatisfaction de nous même alors qu’il nous arrive d’être heureux ? Somme- nous nécessairement condamnés au malheur par les illusions imaginaires de nos désirs, notre imprudence, qu’est ce qui nous fait espérer ou regretter d’être heureux ? On peut donc avoir peur de vivre dans le présent s’il est constamment menacé par l’absence du néant du passé et du futur. Comment l’homme peut-il réellement êtres heureux si il vit dans le présent ?

Nous allons voir dans un premier temps comment l’homme fait-il pour vivre sans le bonheur parce que la première partie de la thèse de Nietzsche est présentée dès la première phrase du texte : « La moindre parcelle du vivant ne veut pas le bonheur. » Alors que le bonheur est le point du temps pour vivre heureux et en même temps être reliés à la réalité, nous ne faisons pas attention a y être tout le temps dans le bonheur parce que cela serait un monde imaginaire. Il ne s’agit d’une décision propre à l’être humain d’être dans le bonheur mais de la nature humaine, ce que l’homme fait pour être heureux. Nous ne pouvons pas passer à coté du bonheur parce qu’il vient naturellement à un fait qu’on n’a pas faire auparavant.

Si nous ne parvenons pas à coïncider avec le bonheur, c’est parce que notre conscience nous met à distance de la réalité immédiate. Nous avons conscience que si le bonheur dans le temps passé n’a pas eu lieu dans le temps présent il ne peut pas y avoir lieu non plus, parce que le passé et le principe de l’existence vécue. Nous pouvons comparer le bonheur avec la science, qu’avec l’être ; comme dit Nietzche « Pour comprendre ce que c’est la vie, quelle sorte d’aspiration et de tension exige la vie, la formule doit s’appliquer aussi bien à l’arbre et à la plante qu’a l’animal » Cette comparaison de la science avec l’animal nous montre que nous n’existons pas inconsciemment, mais par la création de nos ancêtres. Nous réfléchissons au présent et en même temps nous sommes projetés dans le temps. Il est vrai que l’homme s’imagine le futur en rêvant ou en se rappelant le passé par des souvenirs, mais pense t-il toujours que l’avenir est trop long à venir et que le passé s’éloigne trop vite, n’y a-t-il pas des moments où l’homme aimerait que des moments futurs n’arrivent pas car ceux-ci pourraient lui nuire…

Nietzsche nous donne l’impression que l’on n’est jamais dans le présent, que l’on se promène à travers les temps qui ne nous appartiennent pas, ce qui nous contraint à oublier le seul temps qui est en notre possession : le présent.

Si l’homme est capable de ne plus penser dans le présent, il s’efforce d’essayer d’avoir le contrôle du passé ou du futur. Ce qui montre que l’homme essaye de s’approprier ce qu’il ne peut avoir en oubliant ce qu’il à déjà, ici le présent. Si nous ne tenons pas au présent, c’est aussi parce que nous n’en avons pas, comme nous n’avons pas le désir. Le désir est la tendance de la pensée à un imaginer une personne, un objet, une satisfaction personnelle qu’il soit du passé ou de l’avenir. Quand nous désirons quelque chose et quand nous arrivons à l’obtenir nous sommes combler de bonheur, mais si nous n’arrivons pas l’obtenir on sera dans un manque dans un état d’insatisfaction et de souffrance. C’est pourquoi quand nous désirons un objet notre conscience est prise dans une logique imaginaire on imagine un objet qui nous manque et qui est censé nous satisfaire. Grace à notre imagination nous pouvons combler notre bonheur mais que pendant une certaine période jusqu’a que nous revenons a la réalité. Alors nous désirons ce qui n’est plus ou ce qui n’est pas encore. Nous sommes nécessairement insatisfaits de ne pas posséder ce que nous désirons. C’est pourquoi nous prenons nos rêves pour l’imaginer et le fantasmer en le poursuivant là ou il ne peut pas être. Nous prenons nos rêves pour la réalité en imaginant ce qui n’existe pas et en réduisant à rien le présent qui est notre état permanent.

En songeant au temps passé, on passe à côté d’un moment présent en ne sachant jamais si ce moment aurait été un bon ou mauvais moment de notre existence, dans cette idée Nietzsche laisse penser qu’il est passé à côté de moments présent à cause du passé et qu’on ne sera jamais si on est passé à côté de quelque chose d’important.

Dans cette deuxième partie nous allons voir que l’on ne se sent pas bien dans le présent parce que l’homme à un désir de contrôler les temps qui ne lui appartiennent pas : passé, futur. Si nous n’arrivons pas à nous sentir bien dans le présent c’est que nous le fuyons. Et si nous le fuyons c’est qu’il nous fait souffrir. La nature se bat contre cette souffrance comme on peut le voir dans le texte de Nietzsche « Pourquoi les arbres d’une forêt vierge luttent-ils entre eux ? Pour le « bonheur » ? – Pour la puissance !... L’homme est devenu maître des forces de la nature » Nous ne percevons plus la chance qui nous est donnée d’exister et la possibilité de nous réjouir de l’instant présent ou tout simplement admirer la nature les paysages magnifique quel nous réserves, même si parfois nous la détruisons.

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