Suis Je Ce Que J'ai Conscience D'etre
Documents Gratuits : Suis Je Ce Que J'ai Conscience D'etre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 10 Septembre 2014 • 639 Mots (3 Pages) • 1 002 Vues
L'Homme possède une « double existence » : Il explique que les êtres de la nature nefont qu'un avec celle ci et sont dirigés par ses lois. Cependant l'Homme lui « se redouble », c'est a dire qu'il existe comme les choses naturelles existent, constitué d'un corps, mais aussi qu'il estcapable par le seul fait de posséder une conscience de se représenter lui même. D'apres Hegel la conscience n'est pas immédiate, elle s'aquiert et ceci de deux « manières » qui formeront la structuredu texte et de ses idées .
Hegel se demande comment l'homme acquiert la conscience de lui-même. Dans sa réflexion sur la conscience, il part d'une constatation : l'homme est un être doué de conscience et qui pense. Hegel distingue chez l'homme, une double existence : l'homme existe d'une part au même titre que les choses de la nature mais d'autre part existe aussi pour soi. Il se contemple, se représente à lui-même, pense et n'est est esprit que par cette activité qui constitue un être pour soi. Pour Hegel, ce qui est d'ordre spirituelle, est supérieur à ce qui est d'ordre naturel. L'homme possède une double conscience :
1 : La conscience théorique. ( intellectuelle )
2 : La conscience pratique. ( Morale )
Descartes est l'auteur de la célèbre phrase « Je pense donc je suis », qui rend d'autant plus important la pensée qu'elle permet par son recours, de définir l'existence du sujet. Selon lui, le sujet est ce qui en nous fait surgir la pensée. L'homme serait constitué de plus, de deux substances bien distinctes : le corps et l'âme. Le corps correspondrait à la matière, incapable de penser, de raisonner et voué à disparaître au contraire de l'âme qui serait donc cette chose spirituelle qui ferait vivre le corps. On peut ainsi en déduire que le sujet se confond avec l'âme. Ainsi, si un homme pense, c'est qu'il est vêtu d'une âme.
« Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même », dit Sartre ( L'Être et le néant, 1943, III, 1). C'est en effet le regard qu'autrui porte sur moi qui me révèle à moi-même. Je ne suis donc moi-même que par ma relation aux autres.
Certes, la relation à autrui est souvent conflictuelle, et autrui semble alors nous empêcher d'être nous-mêmes (« L'enfer, c'est les autres », écrit encore Sartre dans Huis-Clos, 1944). êmes.
Notre identité personnelle est avant tout sociale. On le voit bien dans la souffrance des relégués sociaux, tels que les S.D.F. : la mise en cause de leur identité sociale (quand les autres cessent de les reconnaître) déstabilise souvent leur identité personnelle.
De même, autrui garantit la fiabilité de notre perception du monde. Dans sa solitude forcée, Robinson finit par perdre la certitude de ne pas rêver perpétuellement. « Autrui, pièce maîtresse de mon univers... Je mesure chaque jour ce que je lui devais en enregistrant de nouvelles fissures dans mon univers personnel. Mais mes relations avec les choses se trouvent elles-mêmes dénaturées par ma solitude » (paroles de Robinson dans Tournier,
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