Qu'est Ce Que Le Moi
Analyse sectorielle : Qu'est Ce Que Le Moi. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 8 Décembre 2013 • Analyse sectorielle • 648 Mots (3 Pages) • 1 025 Vues
Philo
Dans le texte de Pascal « Qu'est-ce que le moi », cherche à trouver ce qu'est le moi en prenant l'exemple de l'amour. C'est ainsi que pour lui, on n'aime seulement une personne pour ses qualités physiques ou intellectuelles et donc, on ne peut pas aimer une personne concrètement (pour son « moi »). Le « moi » ne se trouve alors ni dans la beauté et ni les capacités intellectuelles d'une personne et se trouverait alors dans une substance sans savoir de laquelle il s'agit.
En effet, dans le premier discours sur la conditions des grands de Pascal il désigne le fait qu'on juge une personne selon ses qualités qu'on lui attribues. Ici, un homme naufragé ressemble physiquement au Roi du peuple qui n'est plus là, alors, le peuple désigne donc cet homme comme étant le nouveau quoi, qui pourtant n'a aucun titre positif pour être roi. Il se laisse tout de même traiter en roi mais cependant, il n'ignore pas qu'il n'a aucun titre à le faire. Malgré cela, il « cache cette pensée » et continu d'agir comme un roi, en dissimulant sa véritable « nature ».
De plus, Pascal évoque qu'on a tous des « qualités familiales », un fondement naturel qui caractérise ce que l'on est. Par exemple, si on est né de parents paysans, on sera obligatoirement paysan nous aussi et on nous aimera car justement, on reste un paysan comme notre famille. Mais contrairement, si on change « cette tradition », les personnes nous aimeront moins étant donné que c'est notre véritable « moi » qui sort et non plus une image qu'on renvoyait aux autres. Ceci prouve alors qu'on aime une personne pour ses qualités qu'on lui attribuent mais que si celles-ci disparaissent, nous n'aimons plus cette personne.
Pour Descartes, dans L'immortalité de l'âme le corps change toute notre vie, il ne reste jamais le même alors que notre substance, notre âme, reste propre à elle même. Comme Pascal, il ne situe pas « le moi » dans les qualités d'une personne, l'âme, la substance de les prends pas en compte. Puisque, pour Descartes, on est né avec une âme que nous n'avons pas choisit, mais c'est Dieu qui « nous la donne ». De plus, l'âme pour lui est immortelle donc lorsque le corps change ou meurt, l'âme reste toujours là, c'est pourquoi le « moi » ne peut pas se trouver dans la beauté de l'homme.
De plus, dans le deuxième discours sur la condition des grands de Pascal, évoque qu'on se base sur des qualités que renvoient l'image d'une personne. Si cette image est négatif, nous n'aimons pas la personne. Cependant, si celle-ci est positif, on aime cette personne (on l'apprécie). Mais, cependant qu'on aime ou n'aime pas l'individu, on est forcé de l'aimer, « obligé » de la respecter étant donné que son titre est supérieur à nous. Il y a une certaine « hiérarchisation sociale ». Mais malgré ceci, cette personne qui est « au dessus » de nous, n'est « pas obligée » de nous donner autant de respect vu qu'on est inférieur à celle-ci. C'est des conventions qui ont été misent en place par les hommes, des institutions,...
On peut aussi imaginer que cette personne
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