Platon et socrate

Platon & Socrate

On ne connait les propos de Socrate qu’à travers dialogues de son disciple Platon. Socrate (470-399) faisait profession de ne rien savoir et interrogeait ses concitoyens pour les amener à réfléchir sur la nature du vrai et du bien.

- Platon s’oppose au spohisme : le philosophe n’est pas un sophiste, il cherche à savoir en quoi consiste la vertu et à libérer les esprits du pouv de l’opinion.

Pr Platon, homme pol veritable est celui capable de rendre les citoyens meilleurs, leur donner le gout de la vertu et de tourner leur esprit vers le bien. Il concoit dans la Republique, une cite idéale et envisage dans Les Lois, la possibilité de leur application concrete.

Philo de Platon marquee par le rejet de la critique de ce qui enracine l’homme dans le domaine sensible. Corps fait maintenir homme ds illusion & opinion -> ee, ne peut atteindre par le sens que l’apparence des choses et pour Plato nil y autre chose au dela de ces apparences sensibles que seule la raison peut atteindre = Essence ou Idées des choses. L’homme doit realiser une sorte de conversion du regard.

Les idées pour Platon sont d’ordre intelligible et st ce qui permet de réellement répondre à la ? “Qu’est ce que..” -> personne souvent habitué à rep “cela depend de chacun” mais réponse qui ne satisfait pas l’esprit qui cherche à comprendre comment pls choses différentes peuvent être ranges sous un seul et meme principe.

⇒ C’est donc qu’il y a en elle une “chose” qui les rend belle et qui dépasse leur multitude cette chose c’est “L’idée de beauté”.

La vertu comme sagesse :

Dans Ménon, Platon ? sur la nature de la vertu. Socrate examine les différentes rép de Ménon et selon le principe de la dialectique, cherche ce qui pourrait correspondre à la vertu en elle meme, à “l’idée de vertu” -> arrive à une forme d’aporie (=impasse) mettant en evidence que la vertu repose sur une attitude intellectuelle, celle précisément du philo capable de distinguer entre ce qu”il sait et ne sait pas : Pol de Socrate et Platon qui diffère des Sophistes.

Partagent le même prisme sur la liberté – meme pensée philosophique :

- Pour Socrate l’homme tempérant et capable par sa raison de mesurer ses désirs et de les modérer, serait au contraire plus libre.

- Pour Platon, l’âme se divise en trois partie et il explique sa composition dans Phèdre à partir de l’image d’un attelage tire par deux chevaux et conduit par un cocher : Ainsi cocher = partie rationnelle (charge de conduire l’homme selon les valeurs de la raison) – cheval blanc discipliné = partie irascible de l’âme et cheval noir fougueux = partie désirante. Bonheur et liberté pour Platon consistent alors à harmoniser ces 3 parties de l’âme en les mettant au service de la raison et non du désir.

Dans La République, Platon, faisant parler Socrate, montre en quoi une cité bien fondée est une cité « parfaitement bonne » -> cité bien fondée et donc une cité ou regnent l’odre et l’harmonie et ou chacun reste à sa place, sans chercher à exercer la fonction d’un autre : Fondement

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