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« Plaisir Non Partagé N'est Plaisir Qu'à Moitié »

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Par   •  30 Janvier 2013  •  540 Mots (3 Pages)  •  1 773 Vues

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« Plaisir non partagé n’est plaisir qu’à moitié »

Définition plaisir.

Partagé : un bien réparti, distribué

Non partagé : concentré sur un axe, ici un seul individu

à moitié : il ne serait pas complet

Un plaisir solitaire, personnelle a-t-il une intensité moins forte qu’un plaisir ressentit par plusieurs individus ?

I) Un plaisir en commun renforce notre propre plaisir

La recherche du plaisir est avant tout personnelle, il existe caractère égoïste car nous cherchons avant tout la jouissance de notre être, de notre corps, de notre esprit.

Mais une jouissance centré sur notre être ne serait-elle pas réductrice de l’intensité du plaisir ressentit ?

En effet si l’autre ressent du plaisir autant que moi cela peut multiplier mes propres sensations. On peut prendre du plaisir à voir jouir l’autre.

S’il existe quelque chose qui ne fait pas plaisir qu’à une personne, un plaisir particulier qui serait lié à un goût, cela implique qu’il est universel. Or l’universalité apporte davantage d’importance à cette satisfaction, lorsqu’on la rencontre.

Il existe beaucoup de plaisir qui nécessite un partage : le plaisir en groupe. Par exemple partir en vacance procure du plaisir mais on en aura beaucoup moins que si l’on en profitait entre ami. Partager la joie de partir en vacance apporte une pleine satisfaction.

Dans l’acte amoureux, si l’un de deux se préoccupe uniquement de son plaisir que du plaisir en commun il risque dans le même temps de ne pas connaitre une jouissance pleine. En effet en voulant procurer encore plus de plaisir à l’autre il amplifiera le sien aussi.

Le partage peut donc être un facteur amplifiant notre plaisir mais cette répartition par définition ne réduit-elle pas notre plaisir ?

II) Le partage divise la quantité de plaisir

Correction :

Proposition de problématique :

Le plaisir doit-il toujours être consommé à plusieurs ?

Le plaisir consommé à plusieurs est-il plus intense qu’un plaisir solitaire ?

A-t-on besoin d’autrui pour éprouver un plaisir entier ?

Le plaisir peut-il être partagé ?

I) Vivre à deux un plaisir c’est le redoubler

- Par l’échange

- En le confortant par la certitude, et je l’enrichis par l’apport de l’autre

- Partager un plaisir avec d’autres c’est apporter au plaisir initial d’autres plaisirs : accumulation des plaisirs

Un plaisir solitaire serait un plaisir incomplet, qui pourrait être amputé de l’adhésion d’autrui qui va lui donner sa valeur, donc je doute de sa valeur car je suis

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