Philosophie histoire objective d'un peuple
Dissertation : Philosophie histoire objective d'un peuple. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tssbds123 • 29 Avril 2013 • Dissertation • 1 329 Mots (6 Pages) • 863 Vues
La veritable histoire objective d'un peuple, selon Hegel, commence lorsqu'elle devient aussi une histoire écrite. C'est aussi le fil conducteur dont va se servir Aron pour aboutir au déroulement de sa thèse. Tout au long de son texte Aron va comparer la science historique et la science physique afin de faire apparaitre une opposition entre ces deux ci. Mais peut on comparer la science historique et la science physique ? la définition du terme de science est elle la même selon le domaine qu'elle concerne ? Ou bien Aron veut il implicitement faire part de deux définitions différentes de "science" ? Selon l'auteur l'histoire est une science qui vise à expliquer ce qu'il faut retenir du passé révolu, seulement l'auteur ne précise pas directement quel type de science il aborde. C'est ce que nous allons expliquer à travers le déroulement de son texte, en étudiant dans une première partie sa thèse, puis une antithèse qui servira a souligner sa thèse et enfin la synthèse de l'idée principale du texte.
Dans un premier temps, l'auteur introduit sa thèse sans pour autant l'énnoncé directement . La science historique n'est pas qu'une reproduction des faits passés, puisque l'homme a joué un rôle dans la conception de l'histoire pour en faire une science tout comme pour la science physique qui nécessite que l'homme en soit le créateur. L'homme serait donc nécessaire à l'élaboration de l'histoire tout comme pour la physique. Il montre donc un premier lien, primordial, entre les deux domaines. Seulement, dès la ligne suivante, il annonce le déroulement de sa thèse qui finalement ne s'appuie pas sur ce point mais sur le fait que même si l'histoire et la physique representent similairement une reproduction, on ne peut pas assimiler au même facteurs ces deux types de reproduction puisque les différentes origines de ces reproductions sont la preuves que l'on retrouvera des différences dans leurs méthodes ou leurs aboutissements. Nous verrons donc que la définition de "science" ne sera pas similaire dans les deux cas. Par ailleurs, l'auteur ennonce ensuite les objectifs de chacunes d'entre elles. Il montre donc ainsi les différences de buts qui prouvent que leurs définitions seront différentes selon les domaines. Cependant, un nouveau point est abordé, puisqu'ici, Aron va rajouter à la physique le critère d'être faite de lois, contrairement à l'histoire. Une notion très importantes puisque les lois sont en effet réelles, exactes, et reconnues, grâce à ces critères. En effet on peut être sûr d'elles, elles sont rationnelles alors que Aron définit l'histoire comme une suite d'évenements qui ne se reproduiront jamais avec exactitude, on ne peut donc pas faire confiance à l'histoire susceptible d'être incertaine. Or, la science n'est elle pas quelque chose de rationnelle et d'exacte ? Aron nous montre ici d'un premier point que nommée l'histoire comme une science est contestable puisque ce sont deux domaines contraires qui se trouvent face à face, ici, le passé révolu et incertain ( en effet comme d'ailleurs l'histoire est une séléction de l'historien on ne peut pas toujours l'interpréter comme il le faudrait, faute d'un mauvais travail de l'historien, par ailleurs les faits ne sont pas indéniablement tous présents et, certain peuvent être oubliés ou effacés ) et l'aboutissement des solutions exactes d'experiences scientifiques. "La physique vise la loi, l'histoire le singulier." En effet l'histoire vise le singulier, étant incapable de se reproduire et d'avoir lieu plusieurs fois, il n'y a qu'une histoire. Après avoir expliquer sa thèse, l'auteur va alors l'approfondir grâce à une antithèse en expliquant que de toutes façons il n'y a pas une seule science qui respecte le critère d'être absolument vérités, en expliquant et approfondissant chaque point qui la constitue. Puisqu'en effet le scientifique va aussi séléctionné les informations qui l'intéresse d'expliquer puisque toutes les informations qu'il va recueillir n'auront pas forcément le mérite de l'être. C'est alors un nouveau point commun que vont avoir le physicien et l'historien. Mais l'auteur va énnoncé ce point commun dans l'intention de démontrer une nouvelle fois leur opposition. Par ailleurs
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