Philosophie-Art
Commentaire d'oeuvre : Philosophie-Art. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar luce6 • 17 Novembre 2014 • Commentaire d'oeuvre • 1 212 Mots (5 Pages) • 894 Vues
Philosophie
A travers une def de l'art, et une conception de l'art intellectualisé, il y a un seul est même model pour l'art du beau, n'a pas d'idée de style. L'idée de style oblige à se qu'il y est une puralité.
Le concept de Mimésis produit le Beau. Il consçoit l'idée d'art comme purement objective. On appel l'avenement de la rennaissance. L'idée de l'art intemporel, il n'ont pas de même pour le renaissance.
Les artistes apprennaient le métiers de l'art dans des académies, avec les œuvres d'art de l'antiquité.
Partique 1550 en Italie, mis en cause l'idée qu'il y est qu'un seul model. Les arts ont pour objet de reproduire la forme parfaite de la beauté.
Krisis : Jugement porter sur des objet d'art artistique. Parler d'un jugement, une nouvel manière de penser les choses, considérer un objet (14eme siecle), se joue a la renaissance italienne. Une crise de l'idée de beau.
Ce nouveau jugement est général. Au alentours des années 1450, c'est un boulverssement général. C'est une forme d'humanisme (redécouverte des textes anciens). Epoque de découverte (nouveau monde, nouvelle culture...) → c'est la science moderne.
Dans les arts il y a un débat autour du corps humain. Deux formes idéalisé du corps huamain présise. Les artistes s'intérogent sur la nature du corps huamain. (Léonard de Vinci, l'homme vitruvien) Répond à une certainee manière du modèle humain. Il a un soucis de l'observation qui atteint un degrès de finesse ? (Inesse. Dans la pratique artistique, il y a quelque chose de moderne, on cherhce a imiter et a reproduire les chose. L'artiste est contreint de respecter les règles.
Le modèle idéal doit être disputé.
Il y a une sorte de révolution premier pas vers l'ésthétique.
On cherche à reproduire la complexisté, la richesse de l'homme. On peint, scuplte, tel que les choses devraient être. Il s'agit de reproduire le réel de la nature.
En 1436, théoricier écrit un traité sur la peinture, il faut arrêter les grandes règles du classisme = Une dénonciation. Il y a un excès de théorisation.
Pour Albert, reproduire les grandes règles de l'Art, détourne les artistes de la richesse, de l'existance et de la vie. Il inaugure l'idée qu'on ne doit plus se fonder sur l'autorité des anciens mais on doit s'appyer sur l'observation réel du corps humain. Cette curiosité met à lmal le monopole d'une beauté intellegible.
Les monstrueux devient un objet de curiosité. Aristote va s'interresser au vivant et au monstruosité de la nature. Il va corriger ces erreurs de la nature, elle manifestes le chaos.
Au 17eme siècles, les monstrualités ne sont pas considéré comme des erreurs de la nature, au cintraire, on va s'interresser (fascination) à ces monstrualités.
Signification double → 1ere : Surnaturel = Le montrueux relève d'un certain signe du divin. Il va y avoir un phénomène de polémique autour de l'hérésie. On va donner une caractéristique qui relève du divin. On donne une signification prodigieuse à ces monstres.
On va produire des textes critiques, des gravures qui vont caricaturés les adversaires.
On va trouver une forme d'iconographie. Les formes de la monstruosité apparaît comme un signe d'intéret. : Uine signification naturelle, le montrueux. Manifestation du vivant dans la nature, témoignage de la profesion de la nature.
La nature est pensé comme une nature motrice, comme quelque chose qui n'arrete pas de produire une infiniter de formes.Il y a un intérêt réel de ces formes étranges qui fascinent.
La démarche culturelle c'est une démarche naturelle. Il s'agit de peindre au plus près de la nature. Le beau ne gouverne pas la nature.
Le monde est ces compostant sont beaucoup plus riches, plus complexes. Il faut rompres avec les formes idéalistes. C'est une critique de la dimention normative du Beau.
Burère
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