N'échange-t-on Que Ce Dont On A Besoin ?
Rapports de Stage : N'échange-t-on Que Ce Dont On A Besoin ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar JENNYFER07 • 15 Novembre 2014 • 1 612 Mots (7 Pages) • 4 320 Vues
« N’échange-t-on que ce dont on a besoin ?
Introduction : Par définition, l’échange (ex : le lien social, les relations, la parole, le commerce) représente un actes de transaction entre aux moins deux parties :
L’une donne quelque chose ça peut être, un bien, un service, une parole et reçoit en retour quelque chose de la part de l’autre, et réciproquement. Or, lorsque l’on donne à l’autre, on assouvie ou comble le besoin de l’autre.
Qu’est-ce que le besoin ?
Un besoin est, pour les êtres vivants, une sensation de manque (de ce qui nous est nécessaire, ce qui nous permet de vivre), de privatisation, d’insatisfaction qui les pousse à accomplir des actes nécessaires, indispensables.
La finalité de ces actes est de faire disparaitre cette sensation de manque : la satisfaction du besoin. Dans d’autres termes on entend par besoin la nécessité vitale, le corps, la nature, l’intérêt, l’utilité et la vie économique.
Il existe 3 sortes de besoins : les primaires nécessaires pour survivre comme boire, manger et dormir, respirer ; les secondaires non vitaux et fondamentaux qui correspondent aux croyances aux valeurs, à la communication. L’insatisfaction du besoin entraine la mort, par exemple nous échangeons de l’argent, le fruit de notre travail contre les produits de consommation qui assure notre survie. Ces besoins sont nécessaires à l’humanité c’est-à-dire la vie en société, la famille, l’Homme, les individus, les enfants.
L’expression « on échange que ce dont a besoin » peut être analysée sur trois plan. En effet, on échange que ce dont on a besoin sur le plan humain (l’humanité), des relations, des sentiments, ensuite le deuxième plan va porter sur l’échange dans le sens du besoin n’est-ce pas réduire un phénomène varié (ex : passion). Mais sur le troisième plan de ce qu’on pourrait nommer d’échange de besoin utile c’est-à-dire que tout le problème est de savoir de quoi l’homme a vraiment besoin. C’est par conséquent sur ces 3 plans qu’il convient ici d’examiner si on échange que ce dont on a besoin, en prenant la signification que prendre ce mot d’échange.
I) La thèse : oui, l’homme échangent évidemment que ce dont il a besoin– c’est le sens de l’échange économique.
a) Premièrement l’homme manque de chose, il ne sait pas satisfaire tous ses besoins, parce qu’il ne peut pas faire certaines choses et ne sait pas y a accéder. Selon l’écrivain Aristote le troc, est une des premières formes de l’échange, qui permet d’échanger ce dont on a besoin, des biens utiles contre des biens utiles. Dans l’échange, on perd quelque chose au profit d’une autre chose que l’autre accepte de nous donner. Il est le fondement de la société car il permet de satisfaire les besoins individuels. L’homme ne peut survivre isolément, car seul il serait incapable de satisfaire ses besoins vitaux ou naturels (ex : boire, manger, dormir).
b) Parce l’homme n’a pas d’instinct et il ne sait pas comment satisfaire ces besoins. On constate qu’il apprend éventuellement des autres, ses semblables, contrairement au chat qui mène une vie solitaire.
L’Homme est éduquer de façon à ce qu’il soit obligé de s’associer à d’autre, pour qu’il parvienne à satisfaire ses besoins (de survie, de sécurité, d’appartenance ; d’amour, d’estime, de réalisation de soi), autrement seul il est en manque de besoins spirituels, moraux (aimer, être aimé) dont semble dépendre son épanouissement. Les écrivains suivants : Platon et Adam Smith montrent qu'aucun homme ne pouvant se suffire, seule la coopération permet d'assurer sa survie. Il est de l'intérêt de chacun de s'associer aux autres. Dans l'échange, nous donnons ce que nous avons en trop, ce qui ne nous sert plus contre un objet dont nous avons besoin. Par exemple un écrivain a besoin de sortir un livre et que seul il en est incapable, il va surement avoir besoin d’un éditeur, car l’écrivain n’a pas nécessairement les qualités qu’a l’éditeur et inversement. D’où le sentiment de manque, qui peut provenir d’une incapacité individuelle. On peut donc dire que l’homme a besoins de ces semblables pour échanger et savoir comment satisfaire à ces besoins. Comme on la vue dans l’introduction, l’échange implique de donner pour recevoir. Il est donc rationnel que l'échange est un besoin essentiellement humain, car il permet le vivre ensemble. Le besoin est le point sur lequel l’attention est sans cesse attirée.
C) Mais à la réflexion l’homme n’est pas certain d’avoir besoin de tout ce qu’on échange : certains choses deviennent inutile plus tard à force d’usage. Ce faisant, l’homme satisfait d’autre tendance qui ne relève pas la sphère vitale comme le désir d’acheter une voiture ce qui peut être une passion mais pas une fin en soi dans l’échange même. Comme l’écrivain Aristote l’invention de la monnaie permet de trouver un intérêt supplémentaire à l’échange économique, celui de l’enrichissement, pour satisfaire encore plus de besoins matériels. Même si on suppose
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