Les personnages principaux des romans du cycle Culture
Commentaire de texte : Les personnages principaux des romans du cycle Culture. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar shaymabrk • 19 Janvier 2015 • Commentaire de texte • 300 Mots (2 Pages) • 894 Vues
La culture est une société post-pénurie ayant une économie de l'abondance, ce qui signifie que ses technologies de pointe offrent une richesse matérielle pratiquement illimitée et le confort pour tout le monde gratuitement, et ayant quasiment supprimé la notion de biens. Elle a surmonté la quasi-totalité des contraintes physiques sur la vie, y compris la maladie et la mort, et est presque totalement égalitaire. La société est stable sans l'utilisation d'aucune forme de force ou de contrainte, sauf si nécessaire pour se protéger ou protéger les autres.
Les Mentaux, de puissantes intelligences artificielles, jouent un rôle important dans cette société. Elles administrent cette richesse pour le bénéfice de tous. Comme un commentateur l'a dit,
« En confiant toutes la puissance à ces intelligences Artificielles "Minds", à la fois individualistes, parfois excentriques, mais toujours bénignes, Banks savait ce qu'il faisait, c'est le seul moyen pour que l'anarchie libérale puisse être atteinte, en prenant le meilleur de l'homme et en le plaçant au-delà de la corruption, ce qui signifie hors de contrôle de l'homme. Le danger impliqué dans cette étape d'imagination, cependant, est clair ; l'un des problèmes avec les romans de La Culture en tant que romans, c'est que les personnages centraux, les Minds, sont trop puissants et, pour le dire crûment, trop bons. »
— Chris Brown, Journal of International Studies, 20011.
Les protagonistes des romans du cycle de La Culture sont donc le plus souvent des gens en marge de La Culture, des diplomates, espions ou des mercenaires, ceux qui interagissent avec d'autres civilisations, et qui font le sale boulot de La Culture visant à modifier ces sociétés pour qu'elles soient plus proches de l'idéal de La Culture, parfois par la force, parfois par la corruption stratégique. En cela c'est une allégorie de la culture américaine contemporaine, projetée dans un avenir de science-fiction
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