La Juste Part

La juste part

La juste part est un petit livre qui parle d'impôts, de redistribution des richesses, de créations des richesses et aussi d'inégalités sociales et économiques. C'est profond, on va chercher dans les racines philosophiques qui tiennent ces modèles économiques et sociaux en rappelant au départ que l'économie de marché dans lequel nous vivons est une construction complètement artificielle. Par la suite, la juste part permet de rejeter des idées selon laquelle certains peuvent s’opposer à des redistributions en invoquant des arguments moraux fondés sur le droit de propriété ou le mérite économique. Donc, je vais abordée cinq sujet posté du livre dont, « avez-vous déjà fabriqué un grille-pain », « histoire de prisonniers », « les hommes préfèrent les blondes », « pourquoi le libre marché n’aime pas les enfants » et « qui veut gagner des millions ».

En premier lieux, le texte les hommes préfèrent les blondes démontre que : « convaincre les gens d’accepter des règles afin de sortir de l’état de nature est bien différent de les convaincre de les respecter. »(p.39) Évidemment, si les garçons choisissaient chacun une brune, ce serait un bon exemple de coopération. Par contre, je ne suis pas d’accord qu’il soit mieux de suivre une entente entre ami que de choisir la personne qui les intéresse vraiment. Si je prends l’exemple du mendiant : est-ce qu’on volerait un vieillard même si cela serai une entente entre ami ? Je ne crois pas. Je pense qu’il est mieux de respecter nos principes moraux. Les garçons n’agissent pas de façon naturelle en abordant des filles brunes quand ce n’est pas celles qu’ils souhaiteraient avoir. En outre, il est parfois meilleur de poursuivre son intérêt individuel que collectif car la plupart du temps les gens peuvent se faire influencer et ne pas garder leur opinion de départ.

Dans le second texte Qui veut gagner des millions, l’auteur explique que certains ont un salaire supérieur que d’autre et que «les salaires plus élevés jouent néanmoins différents rôles importants» (p.71). Je ne suis pas d’accord parce que dans les sports, comme en économie, nous visons à faire ressortir le meilleur et non celui qui prend les meilleures drogues ou qui possède la meilleure technique de triche. C’est pourquoi l’État devrait règlementer le marché afin que les entreprises se livrent une bonne compétition, et par le fait même, diversifier le paysage économique. Imaginons un monde sans normes où les entreprises peuvent faire ce que bon leur semble. Leurs profits ne seront bénéfiques que pour eux-mêmes, au plus grand détriment de la collectivité. Ensuite, cette situation de libre marché total plongerait l’économie en plein chaos. Cela reviendrait à se conformer à la loi du plus fort. Alors, je pense qu’il serait souhaitable de mettre sur pied un ensemble de normes qui régulariseront le marché. Ainsi, nous pourrons nous permettre de prospérer dans une économie compétitive, mais égalitaire.

D’abord, le texte histoire de prisonniers démontre que lorsqu’on commet un vol ou qu’on trafique de la drogue, nous pouvons être confrontés à différent résultat. Cela dépend si nous décidons de prendre une décision collective ou individuelle.

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